Témoignages

«Art offers a window on a world that never was and always remains a possibility.» Ramsey Nasr
L’envie est née d’une rencontre privilégiée avec une comédienne, rencontre devenue une belle amitié teintée d’émotion, de bonheur d’être, et de sincérité.
Puis est née l’envie de tracer, ou de retracer, les chemins de traverse du théâtre qu’elle a parcourus en quelques soixante années de travail sur les planches d’illustres théâtres parisiens, au fil de nombreuses tournées, et devant les caméras.
Une vie, belle, passer à jouer un jeu sérieux, comme peuvent l’être les jeux d’enfants, et à transmettre l’art du «jouer vrai».
J’avoue que j’éprouve beaucoup de bonheur et de fierté à retranscrire ces paroles-là d’aujourd’hui, tellement vraies, tellement vécues, tellement réfléchies, et tellement régénérantes en 2018.
Pas une biographie, pas l’ «œuvre d’une vie» non plus. Plutôt le long parcours sans faux semblants et les multiples rencontres d’une artiste ; comme un témoignage fortement inscrit dans le paysage du théâtre français; et il s’agit aussi de dire comment ces années-là et ces rencontres-là ont sans aucun doute contribué et vraisemblablement influencé l’idée d’un «art du jouer aujourd’hui».

TP Jullien

Texte à cœur ouvert, ce récit nous plonge dans l’univers de l’auteur qui est né et a grandi au Dahomey avant de venir s’établir en France. Confronté à une réalité à laquelle il ne s’attendait pas, il devra construire sa vie en essayant de ne pas perdre la foi face aux innombrables obstacles et défis à relever dans une société où les actes xénophobes et racistes bénéficient parfois, lui semble-t-il, d’une certaine impunité.

Diplômé en Droit à l’université Paris VIII, Edmond Gnahoui a été agent de surveillance de la police nationale. Aujourd’hui il vit et travaille en île de France. Le balafon de la révolte est son premier ouvrage publié.

Qu’elle est éprouvante cette année de stage après la réussite du concours du CAPES !
Voici un témoignage humoristique et vivant d’une professeure stagiaire fraîchement mutée dans un lycée de la Marne quittant pour une année sa vie en région parisienne.
Passionnée de littérature, des images d’Épinal plein la tête, l’auteure fait son entrée dans l’enseignement et découvre entre stupeurs et tremblements les réalités du terrain.
De l’affectation aux journées de formation, à l’enseignement des cours de français aux élèves, à la correction des copies, à la salle des profs, jusqu’au retour dans son académie d’origine, vous découvrirez son quotidien et ses tous premiers pas dans le métier d’enseignante.

Après avoir été professeure documentaliste pendant cinq ans dans l’enseignement privé, Émilie Bertrand a décidé de changer de voie et de passer le CAPES de lettres modernes. Professeure certifiée, elle a enseigné un an en tant que professeure stagiaire dans un lycée de la Marne et est actuellement professeure de français dans un collège des Yvelines.

Quand Marcel essaie de se détacher de sa condition héritée de la misère familiale et des événements liés aux difficultés rencontrées par le Front Populaire de Léon Blum, il n’a comme seule ressource que de s’engager dans l’armée. Il quitte son père Léon et sa Bourgogne natale.
La guerre éclate et c’est la débâcle de 1940 qui le conduira en captivité à la frontière germano-danoise.
Après la libération, muté en Zone Française d’Occupation en Allemagne, il est volontaire pour un stage dans une école de cadres au bord du Lac de Constance. Il fait la connaissance de Getty, une jeune femme allemande, enceinte.
Il reconnaît son enfant Jean à sa naissance et scelle avec elle un pacte secret qui le fera passer pour le père biologique.
Mais ballotés au gré des événements internationaux qui bouleversent leurs intentions, quelle destinée accompagnera leurs sentiments ?

Jean-Claude Prisot est professeur agrégé de sciences biologiques à la retraite. Après avoir enseigné dans le secondaire et dans le supérieur à Strasbourg, il signe avec « Au fil du destin » son premier roman qui se veut être un récit où se mêlent milieux et faits réels avec circonstances imaginées.

Ce livre est une autobiographie, un récit de vie qui retrace les douze années du combat judiciaire d’un papa. Il va lutter pour faire reconnaître ses droits puis protéger sa fille de la perversité et de la manipulation de la femme qui a partagé sa vie. Ainsi, il obtient sa garde à 18 mois puis l’autorité parentale exclusive. Mais rien ne lui est épargné, avilissement, accusations mensongères et aliénation parentale de sa fille. Les chroniques judiciaires d’un papa solo nous plonge au cœur du système judiciaire où se côtoient les acteurs de la justice, de la police, des services sociaux et du monde politique. C’est aussi la découverte d’un système permissif pour les mères et sexistes à l’égard des pères.
Mais tous les combats et toutes les victoires ont un prix...

Éric Le Mouarhedec est né en 1967, en région parisienne. Après des études d’électronique, il intègre un grand groupe français d’électronique spécialisé dans les équipements aéronautiques et de l’armement. Ce livre est un témoignage, écrit dans un contexte de séparation et de garde d’enfant.

Dans quel endroit, une personne bientôt centenaire pourrait-elle souhaiter passer les derniers moments d’une vie bien remplie ? Dans une maison de retraite, seule, avec seulement de temps en temps quelques visites ? Ou bien chez l’un de ses enfants, dans un climat feutré et confortable, chouchoutée par sa fille et par toute une équipe d’aides-soignantes lui assurant les soins et les aides de tous les jours afin de la maintenir au mieux de sa forme ? La question devrait-elle se poser ? Et pourtant...