Ce texte est le produit de dix ans de travail.
Ou faudrait-il dire de dix années de vies (au pluriel oui).
Vous trouverez dans ce récit épique les tribulations d’un jeune homme diagnostiqué « surdoué » à ses 7 ans. Il est très intelligent c’est vrai. Mais sa vie qui n’aurait dû être qu’une succession époustouflante de réussites au vu de ses capacités hors-normes, n’a été dans les faits qu’un long voyage sinueux, fait de périples et d’épreuves, de quête de soi et de reconnaissance. Le monde dans lequel nous vivons n’est pas prévu pour les personnes en dehors de la norme, et ce qui aurait pu être vu comme un don, a longtemps été pour le personnage principal et auteur de ce livre, une véritable malédiction.
Paradis artificiels et leurs turpitudes, monde de la nuit, misères et délits, passions déçues ; rien ne lui sera épargné. Ni même la fortune, l’abondance et une forme de reconnaissance au sein de milieux aisés, bien loin de ce qu’il lui était permis d’espérer, étant issu d’un milieu modeste.
Depuis Mulhouse en passant par Strasbourg, Paris, Los-Angeles, Brighton, Londres et La Guadeloupe, il vous sera fait états de ces épopées tantôt comiques, tantôts tragiques, mais assurément sentimentales. Être un zèbre (nom donné aux adultes à haut potentiel), c’est avant tout être une personne hypersensible.
Etudiant en droit de 28 ans, ayant repris ses études après des années d’expatriation, notamment en Angleterre, Kader-Emmanuel Boudaoud a évolué avec succès dans le monde de la finance, sans aucun diplômes. Personnage public de notoriété locale, engagé politiquement dans sa ville d’origine (Mulhouse), il lui tient à cœur d’exprimer ses opinions humanistes et écologiques au sein de différents réseaux d’influences.
«Je souhaite aujourd’hui faire la lumière sur mon parcours atypique et lancer une bouteille à la mer à destination de tous ceux qui pourraient se reconnaître à travers mon récit, traversant des épreuves similaires à celles que j’ai traversé. Sachez qu’il n’existe aucune fatalité en dehors du terme de nos existences, mon histoire en est la preuve.» K-E Boudaoud