Témoignages

Un cancer, ça déformate. À l’aune de la maladie, on se réinterroge sur tout ce qu’on a appris. On se pose des questions sur soi, on réfléchit à d’autres manières de vivre. En explorant les coulisses de la maladie, Marion Frison signe un récit intime, parfois poignant, sans jamais se départir de son sens de l’humour. Du choc du diagnostic à la rémission, en passant par l’opération, la peur panique de la chimiothérapie, le dévouement du personnel soignant, l’apprentissage de la patience, elle nous livre ses douleurs, ses doutes, sa culpabilité mais aussi ses découvertes et ses joies, dans un témoignage qui résonne comme une ode à la vie et à l’amitié. De ce formidable message d’espoir, on veut se souvenir du mot d’ordre final : « Maintenant, il faut vivre. »

« Vingt ans après avoir guéri d’un premier cancer, je croyais naïvement en avoir fini avec cette pathologie. Qui vient de me rattraper ! » Marion Frison, 62 ans, mariée et mère de deux enfants, vit à Grenoble où elle est journaliste.

Que peut-on penser d’un irrationnel ? Dans quelle mesure, quelle proportion, quel écart, quelle déformation peut-on le comprendre ? Peut-on même seulement le penser ? Extraterrestres, un autre mot pour irrationnel : plus qu’une créature non observée, un irrationnel peut être un singe, un chien, un canari, ou un faisan, ou un ovni, ou un fou, ou même une créature supposée dont on ne puisse même pas pénétrer l’esprit et qui pense et ne se comprend pas elle-même : peut-on même supposer qu’elle se comprenne ? Que se passe-t-il quand on essaie de la comprendre ? Y-a-t-il même de quoi comprendre ? La pensée de l’observateur ne se trompe-t-elle pas elle-même et ce sans s’en rendre compte ? Ecrit avec la plus grande exigence d’hygiène intellectuelle, avec des mots courants, Comment pensent les extraterrestres ? au moyen de paragraphes courts, séquencés, rythmés, ménage une lecture qui peut être ruminée, reprise, et laissée sur le coin de table pour être reprise bien plus tard. Comment pensent les extraterrestres ? est d’autant plus urgent que la science avance et que les signes possibles d’une existence sur d’autres étoiles se multiplient.

Arthur Fousse, né en 1993, a fréquenté les hôpitaux et les asiles depuis plus de 6 ans. Incurable, et plusieurs ouvrages à son actif, son travail d’écriture à travers ses multiples formes, poésie, essai, roman, fait le vœu d’obtenir une vision totale de la réalité, avec réalisme et intensité. Comment pensent les extraterrestres ? est son second livre de philosophie.

Le Petit Prince est l’enfant qu’Antoine et Consuelo de Saint Exupéry n’auront pas eu. Ce petit personnage devenu universel fut conçu idéalement et littérairement lors de l’exil volontaire du couple en Amérique, pendant la Seconde Guerre mondiale. Outre le visage dominant de Consuelo, l’épouse de l’écrivain pilote, on retrouve chez cet enfant merveilleux des traits de ressemblance avec des êtres purs, qui furent chers au cœur d’Antoine de Saint Exupéry: Guillaumet, Mermoz, un petit berger de la Cordillère des Andes, deux petites filles de la pampa...
Si, aujourd’hui encore, Le Petit Prince parle si fort à notre esprit et à notre cœur, c’est qu’il est chargé d’une vérité que le temps n’use pas. L’amour fait des miracles et il est plus fort que tout.

Après des études supérieures de lettres, Pierre Plas a exercé comme professeur. Il se consacre désormais à l’écriture. Son talent de conteur se met au service d’une vision humaniste du monde et d’une quête de l’enchantement qui émane d’existences hors du commun, de la poésie des mystères et des grands espaces.

Ce livre, c’est de l’espoir :
Il est destiné à ceux qui ont vécu l’expérience d’un divorce, d’un deuil, d’un accident, d’une maladie, d’une mise au chômage ou d’un départ à la retraite ; ceux qui se sentent inutiles, finis, bons à rien. Le message est qu’ils se donnent une seconde chance, ne jamais laissez tomber. Qu’ils se fassent confiance, car c’est quand on est au fond du gouffre que l’on peut donner le coup de talon qui vous ramènera à la surface.
C’est le moment de se remettre en question, de faire le point, de foncer. C’est un combat long, douloureux et difficile. Mais quelle satisfaction quand on le gagne. On se sent fort, heureux, satisfait. On n’a plus peur de rien, ni de personne. Ce que l’on a accompli, peu de gens l’auraient fait. Alors oui, quelle fierté !

Née en Normandie dans le milieu des années 60, Patricia Condette Lefèbvre vit dans la région Niçoise depuis 38 ans. Veuve à 36 ans, elle se retrouve à élever seule ses deux filles, malgré une sclérose en plaques déclarée l’année suivant la mort de son époux. Elle continue à travailler dans le commerce, jusqu’à ce que ses jambes ne le lui permettent plus. Obligée de se reconvertir professionnellement, elle suit un cursus pour être naturopathe et commence à écrire son parcours de vie difficile, mais salutaire, dont vous trouverez le témoignage dans cet ouvrage.

Où est donc ce bonheur que j’espérais ? Je croyais enfin avoir décroché tout ce qu’il fallait posséder pour être heureuse mais la vie semblait en avoir décidé autrement… Alors, comme pour mieux échapper à la réalité, je décidais de me tourner vers mon rêve : voyager.
Deux ans et deux mois d’escapade. Tourisme, volontariat, treks, retraites de méditation, rencontres. Je vous emmène dans une aventure humaine, une quête personnelle et spirituelle, à la découverte du monde et de l’autre.
Voici le témoignage d’une expérience hors du commun qui invite chacun à s’arrêter un instant pour se poser la question : quel sens ai-je envie de donner à ma vie ?

Artiste et musicienne dans l’âme, physiothérapeute de formation, Delphine a choisi de quitter son rassurant quotidien pour voyager. En partant à la découverte du monde et d’elle-même, elle a rencontré en chemin sa vocation : Écrire. Alors elle a décidé d’y croire et d’oser : voici son premier livre.

L’opérette est au cœur du patrimoine musical français pendant un siècle après 1850 ! Sous les duos d’amours célèbres, on découvre le « parfum de l’histoire » à l’époque où les compositeurs doivent contourner la censure pour glisser des allusions politiques ou sociales pimentées ! Jacques Offenbach, animateur de la fête du Second Empire, s’enhardit avec la libéralisation du régime. Sous la IIIème République, les opérettes politiques apparaissent. Le militaire y est essentiel pour aider la France à reconquérir l’Alsace Lorraine, mais disparaît avec la Grande guerre. Les « Mousquetaires au Couvent » rappellent le conflit de l’Église et de l’État mais on découvre aussi des airs pleins de spiritualité. André Messager, révèle les déboires de l’Aristocratie. Vienne passe de la Valse à l’opérette, mais les créations se replient sur Paris après l’écroulement de l’Empire de François Joseph ! L’opérette découvre la France du tourisme naissant, la Méditerranée, Marseille et le Monde.

Gérard Staron, professeur d’histoire, puis agrégé et docteur d’état de géographie a surtout publié dans les domaines de la climatologie après sa thèse « l’hiver dans le Massif central » au catalogue depuis 1993 des publications de l’Université de Saint Etienne. En 2003, il sort « le ciel tomberait–il sur nos têtes » aux éditions Aléas, en 2007 « Conditions climatiques et compétitions cyclistes » aux éditions de l’Harmattan en collaboration avec Jean-Paul Bourgier. En 2013 il participe à l’ouvrage hors-série du Progrès « Quel drôle de temps ». Depuis 2012, il préside l’association des météorologistes d’entre Rhône et Loire et publie chaque mois le Météofil. Avec « l’opérette Parfum de l’histoire » il passe à la passion inspirée par cette musique légère. Il met sa formation d’historien au service de ces œuvres musicales plus intégrées dans leur temps qu’il n’y parait !