Romans

Deux pilotes français aux commandes d’un Mig 29 sont kidnappés en Ukraine par deux OVNIs en mission au profit de Sakalava, une planète lointaine dont les dirigeants cherchent une solution de repli pour un peuple d’humains très proches des Terriens mais technologiquement bien plus avancés.
Le champ magnétique de Sakalava donnant des signes inquiétants de faiblesse, la zone habitable s’y réduisant de façon drastique, la Terre semble être la seule chance de salut d’une civilisation au pragmatisme parfois déroutant qui va faire de nos deux héros, ses plénipotentiaires auprès des Terriens pour y plaider leur offre de partage.

Pilote retraité mais grand voyageur toujours en activité, Guy JJ Durand a trouvé à Madagascar le cadre propice à ses élucubrations littéraires. Pas moins de cinq romans y ont vu le jour.

Pourquoi le destin s’acharne-t-il sur Marie-Louise ?
Marie-Louise n’a que vingt ans ce jour d’été 1876 où elle quitte son village natal, près de Montbéliard, pour gagner sa vie à Paris.
Elle travaille comme « bonne à tout faire » chez de grands bourgeois, de 6 heures du matin à 11 heures du soir, sous le joug impitoyable du mépris et de l’humiliation, jusqu’à leur décès.
Après une heureuse et brève histoire d’amour à la fin tragique, elle se retrouve seule, sans emploi ni argent. Dès lors, elle lutte avec courage, déterminée à sortir de cette vie obscure. Les conditions de travail et d’existence de Marie-Louise sont celles de ces femmes qui souffrent de la mentalité bourgeoise de cette époque. Car elle est une servante, une femme fragile, exploitable.
Son destin s’inscrit dans l’histoire de la société du XIXe siècle du vieux Paris avec tous ces petits métiers aujourd’hui disparus. Mais il symbolise aussi la force de cette femme courageuse, qui se bat pour vivre et garder sa dignité, et saura finalement faire preuve d’une grandeur pathétique face au poids d’une société qui ne lui laisse pas vraiment « sa chance » de réussir sa vie.
Ce livre est un témoignage très émouvant sur la vie « ressuscitée » d’une femme, Marie-Louise, après une longue enquête sur son passé, dont le destin est emblématique de nombreuses femmes de sa condition en cette fin du XIXe siècle et sur leur courageux combat pour simplement exister.

Ancien cadre dans un grand groupe aéronautique, puis correspondant de presse durant plusieurs années au quotidien Ouest-France, Pierre Humbert est un passionné d’histoire napoléonienne et également de la littérature du XIXe siècle. Librement inspiré de faits réels, il nous livre ici un premier roman très touchant sur l’impensable parcours de cette femme qui n’est autre que son arrière-grand-mère paternelle.

Un couple de paisibles retraités en randonnée dans le massif de l’Estérel, découvre un sac abandonné sous le banc d’une aire de pique-nique. La facture d’un garagiste de Mougins trouvée dans ce sac va lui permettre d’identifier et d’en localiser la propriétaire, résidant dans un village de l’arrière-pays niçois.
Cette trouvaille, plutôt banale, marque le départ d’une histoire riche en rebondissements et coïncidences les plus inattendus. Surgis d’un passé parfois ancien de plus de cinquante années, les multiples acteurs qui animent ce roman d’aventures vont croiser à nouveau leurs destinées respectives.
Avec pour point de départ la Côte d’azur, l’auteur entraîne son lecteur dans la forêt et sur les pistes de latérite en Côte d’Ivoire, puis au Niger, dans une haletante chasse à l’homme.
Cette aventure, où retraités, personnages hauts en couleur et vrais truands se côtoient, est partiellement inspirée de faits et de situations ayant réellement existé.

Daniel Gest est né en 1939. Aujourd’hui retraité, il vit en banlieue Ouest de Paris. Au terme d’une carrière effectuée à la direction d’un service d’audit et de contrôle de gestion pour le compte d’un important groupe industriel et commercial contrôlant nombre de filiales situées notamment en Afrique sub-saharienne, cadre dans lequel l’auteur situe une grande partie de ce deuxième roman. Daniel Gest est marié et père de deux fils.

L’auteur de Moi, le chaoui et du Messager des Aurès nous revient avec un nouveau roman. Il nous y emmène à la suite de deux chercheurs d’asile, l’une syrienne, l’autre namibien, tout long d’un périple qui les mènera d’Israël au Royaume-Uni, en passant, entre autres, par le Liban, la Syrie, la Turquie et l’Europe de l’est, des lieux que l’actualité nous a rendus tristement familiers ces derniers temps.
On y suit un regard peu conventionnel, qui court entre des lignes où la littérature se cherche au-delà des apparences.

Yabda Amaghestan a suivi des études de sociologie. Il se définit comme un journaliste et un auteur par intermittence. Il a séjourné dans divers pays : France, Mexique, Royaume-Uni. Il vit actuellement en Europe centrale.

Jacques, cadre supérieur, part à la retraite et décide avec sa femme de quitter la région parisienne pour s’installer dans le Midi, au bord de la mer, à Frontignan-Plage.
Entre mer, soleil et garrigue, le cadre semble enchanteur, mais couple et maison vont progressivement se déliter...

Rémy Cabrillac professeur à la Faculté de droit et de science politique de Montpellier, a publié de nombreux ouvrages juridiques. Il est l’auteur de quatre romans, A la recherche, paru aux Editions Delirium en 2012, et La Madone du Musée San Matteo, paru aux Editions Spinelle en 2017, Destins croisés, paru aux Editions Spinelle en 2018 et Retour à Bourbon, paru aux Editions Spinelle en 2019.

Son élégance semblait une menace est un titre prémonitoire pour le destin des personnages : Une belle mariée, volée lors de sa nuit de noce, qui disparaît à jamais ; un mari amnésique qui perd la mémoire après un accident lors de cette nuit fatidique ; une femme riche, extrêmement belle et élégante, souffrant d’un trouble de la personnalité multiple, une sorte de Dr Jekyll et Mr Hyde au féminin. Une action exaltante, pleine de mystère et de suspens, saupoudrée d’amour "providentiel", de jalousie, de meurtre, d’usurpation d’identité, de suicide... Ainsi, le récit devient fluide, l’auteur montrant une bonne connaissance de la psychologie humaine en ouvrant l’action narrative sur le couple reconstruit, non pas de manière dramatique, mais de façon spectaculaire, sur le thème "deux sur une balançoire".

Nicolae-Florentin Petrișor est né à Corabia, au bord du Danube, en Roumanie. Après avoir obtenu un diplôme en langues et littératures modernes à l’Université de Bucarest, il a travaillé comme professeur de français, menant une carrière internationale dans la francophonie. Son activité d’auteur a commencé un an avant son départ à la retraite, en 2018. Il a écrit, en deux ans, 23 livres : romans, nouvelles et récits. Il a remporté plusieurs prix littéraires.