Romans

Quelle angoisse ! Encore une histoire d’amour qui se déroule dans un train.
Arnaud est beau, Stéphanie est belle.
Elle a de la conversation, il a de la répartie.
Ils se plaisent, ils s’aiment, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. QUEL ENNUI !
Car ils ont beaucoup à mieux à faire que de s’aimer, ils doivent sauver le mariage de leurs amis.
Un enterrement de vie de garçon qui tourne mal et tout est remis en cause.
Un témoin trop alcoolisé qui ne cache plus ses sentiments et c’est la vie des mariés qui pourrait être chamboulée.
Mais finalement, est ce que Stéphanie choisira Arnaud ou bien décidera-t-elle de prendre le prochain ?

Avec "Je prendrai le prochain" Jérémy Lagleyse signe sa première publication.

Il est un lieu isolé au fond du Pacifique, épanoui en des espaces sublimes. Là-bas, les fleurs couronnent les têtes et se suspendent au cou des visiteurs exhalant leurs parfums encensoirs.
Égaré en Occident, reclus dans les citadelles de nos villes laborieuses, j’ai quitté un monde étouffoir qui distille richesses et illusions. Ici, j’ai tissé des liens étranges, insoupçonnés, délaissé ma vie antérieure, brisé son sarcophage. Voici l’histoire de cette transformation, de cette rencontre : celle de nos découvertes respectives, de nos destins, de nos doutes.
Un livre, où les mots prennent leur mesure dans les vibrations du Pacifique, une rencontre où l’éternité, se devine fragile, éphémère.

Alain Lincker trempe sa plume dans la beauté saisissante des espaces d’Outre-mer, le bleu des lagons. Un monde aujourd’hui en péril qu’il convient de préserver coûte que coûte. Il est membre de la société des Écrivains d’Alsace et de Lorraine (SEAL), ainsi que membre de l’Académie Rhénane.

« Mémoires d’une fragile comète » est le journal intime que Marie Pra a tenu de 2004 à 2006. Dans ses carnets, elle dit tout, elle se livre sur son travail d’écrivain, alors inédit, ses amis, ses relations amoureuses et sexuelles, pan nouveau de son existence. C’est aussi le journal de bord d’une profession, avec la découverte du métier d’enseignante. Dans une langue imagée et vive, la diariste nous invite à connaître ses découragements et ses révoltes, son regard sur la société. Le livre se termine avec un voyage en Israël, pays auquel elle est profondément attachée.
Ce Journal fait suite, après quelques années de silence, à un journal d’adolescente déjà publié. Le lecteur est invité à saisir la vie dans ce qu’elle a de plus palpitant et de plus attachant. Le journal intime est tenu pour une littérature à part entière.

Marie Pra est née en 1979 à Dijon. Passionnée de journaux intimes, elle est titulaire d’un DEA de Lettres Modernes sur la diariste Marie Bashkirtseff. Elle publie par la suite de nombreux ouvrages, dont certains sont autobiographiques, comme Synagogue morne plaine (2008), Journal d’une adolescente (2021) ou Caramel (2022).

Basile, chauffeur de taxi dont le grand-père suivit les Russes Blancs dans leur exil, voit sa vie bouleversée par la remise d’un album de photos.
A n’en pas douter il s’agit de lui, posant aux côtés de parfaits inconnus, en des lieux où jamais il ne s’est rendu.
Pour comprendre, il devra retracer l’histoire de sa famille, des plaines de Russie aux contreforts du Morvan, de la révolution russe à la France des années 90.

Diplômée d’études juridiques et mère de deux enfants Danièle Senusson Lunel, dont les grands-parents maternels fuirent la Russie, réside en Bourgogne. Trop tard pour Roissy est son second roman.

Alexandre, jeune guitariste français, s’est pris de passion pour la musique classique de l’Inde du Nord. En cette fin des années 70, il se rend à Bénarès, la ville sainte de l’hindouisme, pour un nouveau et long séjour d’étude auprès de son maître de musique, Pandit Brij Kumar Sharma, l’un des plus illustres représentants de cet art musical profondément ancré dans des siècles de traditions. Alexandre loge non loin du Gange, chez Keshav Babou, un vieux brahmane solitaire et dévot, adorateur de la déesse Kali. Bravant les codes et les interdits de la société indienne, une relation passionnée va naître en secret entre Alexandre et Sangeeta, la jolie fille du maître de musique, étudiante éprise d’art et de liberté. Lorsqu’elle éclatera au grand jour, elle sera la source d’un conflit violent et tragique.
A une époque où il n’y avait pas d’ordinateur, ni de téléphone portable et où les relations n’étaient pas encore soumises à la frénésie de l’urgence, Raga de Nuit est une plongée dans l’Inde éternelle, le riche univers de sa musique traditionnelle et l’omniprésente spiritualité qui imprègne son quotidien.La délicate et brûlante histoire d’amour qui en est la trame est aussi le récit d’une quête initiatique, où s’enchevêtrent cultures d’Orient et d’Occident, tradition et modernité. Avec en toile de fond, la magie envoutante de Bénarès et du Gange, le fleuve sacré.

Passionné par les musiques et les spiritualités du monde, Gérard Kurkdjian, directeur artistique et musicien, fait s’entrecroiser dans ses créations, poésies et textes des grandes voies mystiques et des traditions musicales d’Occident et d’Orient. Il est également conférencier, producteur d’émissions de radio et organisateur de colloques culturels. Il a été l’un des fondateurs du Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde et son directeur artistique de sa création en 1994 à 2009.
Auteur du « Grand Livre des Musiques Sacrées du Monde », (Albin Michel 2016), il a aussi publié « Méditation Musicale : comment méditer avec les plus belles musiques du monde ».(Dervy 2019) et un recueil de poèmes : « Abeilles de l’Indicible » ( Editions Spinelle 2021)

À 18 ans, Circé, chanteuse de rock et élève de terminale S veut entrer à Sciences Po. Elle a fini de s’auto-persuader qu’elle oubliera tous ses conditionnements parce que son seul objectif est de sortir de sa condition, point à la ligne. La mélancolie, c’est dépassé, c’est un truc de syndicaliste dépressif. Jeune femme du 94, elle veut récupérer la considération et les libertés que les femmes de la génération de sa grand-mère ont gagnées, un printemps sur les barricades, dans le quartier latin, sous les coups de matraque des CRS. Libre et lucide, elle a sacrifié sur l’autel des discernements cette autre femme que les politiques du pouvoir veulent faire pousser en chaque femme ; elle ne l’intéresse pas, elle n’a jamais voulu la connaître !
Dans ce roman contemporain, Ellande Bakean pose un regard réaliste, sur la reconnaissance et la place des femmes dans les hypocrisies de l’égalité des chances femme homme dans notre société.

Ellande Bakean est un libre penseur qui avec ses vérités naturelles peut choquer. Sans souci spirituel, il souhaite que ses poèmes et ses romans amènent l’envie de repartir, d’espérer, croire que son avenir existe.