Romans

Devant le cercueil de son frère, sa mère lui dit : « Toujours aussi nul, mon pauvre Christian, tu es un raté, c’est toi qui devrais être à la place de Benoît. » Vivant, Benoît a capté tout l’amour de ses parents, mort, il élimine Christian de sa propre famille. Pourquoi Christian est-il si mal aimé, si rejeté de sa famille ?
« Entre deux » est un roman initiatique, où l’auteur nous donne à voir, à travers le personnage de Christian, une jeunesse cabossée dans un milieu très traditionnel avec une construction de soi qui se fait entre excès et mauvaise conscience. A travers le suspens d’un secret qui pèse sur ce roman, la quête d’identité de Christian, et l’acceptation de sa différence, seront accompagnées par la psychanalyse, la peinture, le cinéma, et l‘ouverture aux autres. Ainsi, passant du chaos à la lumière, ce roman propose au lecteur un beau message d’espoir et de tolérance, un vrai chemin de vie.

Jean Mayer, loin du personnage qu’il a créé, était chirurgien orthopédiste avec en particulier plusieurs missions de chirurgie de guerre en Afrique ou dans les Balkans. Aujourd’hui il travaille comme expert médical et comme responsable associatif. Il a dirigé une troupe de Théâtre, il aime la grande randonnée et l’alpinisme. Il a toujours écrit, ayant publié quelques romans il y a une vingtaine d’années.

Paris, 1989.
Ingénieur féru d’histoire, Bernard se passionne pour la Seconde Guerre Mondiale. Sa quête le conduit à s’intéresser à Clément, jeune journaliste au Populaire de Paris en 1937 qui a combattu pendant la Guerre d’Espagne, puis est entré dans la Résistance après la défaite de 1940.
Cinquante ans les séparent mais Bernard s’identifie bientôt au jeune homme anticonformiste qui a traversé les grands événements du XXème siècle et dont aucune trace ne subsiste. Bernard aurait-il suivi le même chemin que Clément ? Ce dernier est-il encore vivant ?
Reposant sur une trame historique authentique, Nous aurons d’autres minuits est également une chronique familiale et intime, un manifeste politique et une parole nécessaire, à l’heure où nous quittent les derniers témoins directs de ces événements.

Bernard Castellon est ingénieur en électronique et cadre dans l’industrie.
Parallèlement à sa carrière professionnelle, il a été comédien et auteur de théâtre. Passionné d’Histoire et de langue française, il est l’auteur de «Nous aurons d’autres minuits», roman historique, poétique et engagé, fruit d’années de recherches et hymne à la Résistance.

Dans la nuit du 4 au 5 août 1962, Marylin Monroe est retrouvée morte au 12305, Fifth Helena Drive, à Brentwood dans les environs de Los Angeles.
Durant des années, elle a confié, dans un petit carnet rouge, ses amours, ses joies, mais aussi ses doutes et incertitudes sur sa carrière et sa vie sentimentale. Elle y décrit également certaines conversations avec John Fitzgerald Kennedy et son frère Robert, divulguant ainsi certains secrets d’Etat.
Alors, comment réagir si un jour ce journal intime tombait entre vos mains ?
C’est ce qui arrive à Mason Daigle, à Los Angeles. Stupéfait, il décide de le conserver.
Mais posséder un tel document n’est pas sans danger.
Et, après son déménagement en Louisiane, Mason va l’apprendre à ses dépens…

Pascal Loraux, 64 ans, a publié son premier roman « Cinéma mortel » en 2008. Depuis, six autres romans ont été édités. Passionné de bowling, il a créé un club avec quelques amis il y a 44 ans, club qui subsiste toujours sous un autre nom et dont il est le secrétaire. Marié et trois enfants, il réside en région parisienne.

Nicoletta Pazi, originaire d’une île grecque, travaille à Londres en tant que journaliste d’une revue politique. Elle rencontre à Tunis, dans des circonstances étranges, l’écrivain franco-algérien Fouad Mazin, victime de l’intégrisme islamique. La femme de celui-ci a été assassinée par des terroristes et son fils cadet, qu’il tente de sauver, s’est enrôlé dans le jihad.
Ce livre est une chronique de la première décennie du nouveau siècle. Il fait voyager le lecteur de Londres à Paris, et des îles grecques à Tunis, sur un fond inquiétant de crise économique, de terrorisme, de violence domestique et d’intrigues tirées du quotidien des personnages principaux du récit. C’est également une ode à la littérature, à l’art, à la musique ainsi qu’à l’amour.

Jenny Manaki a étudié le journalisme. Elle a travaillé comme rédactrice et traductrice dans un journal réputé. Elle est membre du comité de rédaction de plusieurs magazines de presse, notamment de la revue littéraire Fractal dans laquelle un grand nombre de critiques de livres ont été publiées. Avec “La main sur la poitrine” elle signe son quatrième roman.

Bartolomeo, riche héritier d’une grande entreprise familiale, va malgré lui, découvrir une autre façon d’envisager la vie. Suite à un choc trouvant sa source au niveau sentimental, en lien avec son état de santé, le personnage principal va accomplir un immense voyage initiatique aux mille couleurs. D’abord, une remise en question s’impose quant au sens de son existence, avant de tenter le tout pour le tout en prenant la décision de combattre une tumeur cancéreuse. Sortir des sentiers battus lui procurera un sentiment de liberté ainsi qu’une immense satisfaction. L’aventure humaine allait alors débuter et le conduire dans un magnifique voyage aux multiples découvertes. Épris d’un grand amour, il apprendra aussi à faire la part belle entre les personnes intéressées par l’argent et celles voulant s’inscrire dans de réelles relations basées sur l’amour et l’amitié. Cette histoire lui montrera un nouveau chemin, ainsi qu’un rôle plus important à accomplir que celui d’amasser des fortunes avec pour unique but de s’enrichir. C’est ainsi que Bartolomeo se battra pour des causes plus nobles, plus justes, en tentant de contribuer à préserver la nature. Un vœu qu’il avait fait à l’élue de son cœur avant de la perdre dans une tragédie...

Après le roman : « Réveillée par le soleil », Sébastien Sgarbi poursuit son écriture avec ce nouvel ouvrage en deux tomes. Il est également l’auteur de plusieurs livres dans le domaine du bien-être. Enseignant et coach en développement personnel, il se passionne pour l’évolution constructive de l’être, que l’on peut aisément ressentir tout au long de ses écrits.

Un éditeur retraité, Paul Lamure, retrouve le livre oublié d’un écrivain de renom, Milo Volja, publié par ses soins une vingtaine d’années auparavant.
Il s’agit d’un manifeste littéraire en faveur du signe typographique « & » appelé ESPERLUÈTE, qui fut un énorme succès de librairie mais qui, dans le même temps, provoqua des convulsions sociétales sans précédent à la fin des années 1990, alors que son auteur avait mystérieusement disparu.
Après avoir hésité, Lamure décide de se lancer aujourd’hui dans une entreprise de réhabilitation. Pour ce faire, il va notamment rencontrer les deux autres protagonistes de l’époque : l’ami intime de l’écrivain et l’ancienne petite amie de celui-ci.
Une histoire d’engouement et d’envoûtement, de disparitions et de déceptions. Deux quêtes en forme de boucles, tels deux poulpes qui s’entrelacent et se superposent à plus de vingt ans d’intervalle, l’une en Bretagne, l’autre à Paris, avec un tentacule jusqu’à Bruxelles.

Jérôme-Marie Timal, né à Paris, est médecin. Il a, en outre, collaboré à plusieurs traductions littéraires, ainsi qu’à diverses adaptations pour la radio (dramatiques diffusées sur France-Culture) et au montage sonore d’émissions thématiques (Atelier de Création Radiophonique). Il a déjà publié Lune aux éditions Spinelle (2021), ainsi qu’un roman policier en espagnol : Dos veces para siempre (Hum / Estuario Editora, Montevideo, Uruguay, 2011), dont la version originale a paru sous le titre : La Course de l’Hippocampe (Editions du Net, 2013).