Poésie

Poèmes exploratoires de l’Ancien Temps du Nouveau Monde

Partir sur la trace du chemin intérieur qui mène à notre nature singulière, devenue peu à peu méconnue. Chercher à chaque pas l’issue d’un récit qui se cache en nous. Explorer ses origines anciennes pour tenter de mieux comprendre son destin. Voilà ce que propose ce périple expérimental, sous forme de recueil, pour qui veut bien s’y perdre ou au mieux se retrouver.
Avancer à rebours sur le sentier des découvreurs avec pour seule boussole le temps qui passe et pour seul objectif capital, la survie dans un monde nouveau. Établir un camp, semer un champ, bâtir un abri, conserver sa récolte, traverser les saisons, résister aux intempéries. Voilà l’endroit de notre refuge.

Avec le recueil de poèmes "Refuge" René Poulin signe sa première publication.

Vous connaissez le slogan : Faites l’amour pas la guerre.
Des haïkus érotiques voyagent à travers cet ouvrage où les mots passent et se rejoignent pour apporter un érotisme calme. « La femme devient magnifique et magique, dévoilant sa nudité ».
L’auteur a souhaité montrer le corps de la femme sans aucune vulgarité ni atteinte à la pornographie.
La grâce et la lumière deviennent des champs de blé.
Le visage et la longitude jonchent les images de l’amour.
« Si le vagin humide était une fontaine , l’eau serait pure » .

Avec Lèvres ouverte Alain Le Roux signe sa troisième publication aux Éditions Spinelle.

Le recueil Orpailleur de mes jours est ma recherche des valeurs et les enseignements de la vie. Il représente par ses multiples facettes de différents styles, thèmes et inspirations. Dans mes textes je mélange la poésie, la fantaisie, les questions existentielles, parfois avec un trait d’humour et de façon ludique, parfois avec une petite provocation, mais toujours avec plaisir et sincérité. Je privilégie les formes courtes, la poésie non-formelle, animée par le désir d’authenticité. Dans le miroir de mes émotions et réflexions, le lecteur peut entrevoir son propre univers, trouver des réponses à ses questionnements ou des remises en question de ses certitudes. R. Koleva

Réni Koleva est âgée de 56 ans. Elle est une autrice francophone d’origine bulgare. De profession orthophoniste, elle a exercé en libéral et dans des cabinets publiques. Elle a suivi une formation en psychologie clinique et pédagogie. Elle vit en France depuis 22 ans.
Avec Orpailleur de mes jours, elle signe sa première publication.

Suite poétique cheminant entre mystère et lumière, la disparition de l’ombre est une quête dont chaque poème est un pas qui mène « à la source de soi », révélation ultime, celle-là même qui coûta la vie au poète soufi Al-Hallaj.

«attrapez la lumière
marchez sur un nuage
devinez qui je suis»

Né à Paris en 1968 Frédéric G. Martin a enseigné le français et promu la lecture et la poésie auprès d’élèves en difficulté pendant plus de vingt ans.
Il se consacre désormais à l’écriture, sa passion première. La disparition de l’ombre est son premier recueil de poèmes.

Bernard RICHER est assurément l’un des plus émouvants poètes de sa génération. Discret, amoureux de la nature, il préfère fondre le bleu de ses yeux dans la voûte céleste, plutôt que dans les ors des salons mondains. Romantique, hypersensible, cet homme à fleur de peau, traque l’exaltation des sentiments dans leurs amours et leur solitude.
S’exprimant essentiellement en vers, son style simple et dépouillé est abordable par tous. Pour autant, chacun de ses mots est d’une puissance émotionnelle inouïe, entraînant le lecteur dans une dimension, où nul ne peut sortir indemne.
Bernard RICHER fait du non sens de l’existence son terrain de jeu. La fuite du temps, la solitude, l’incompréhension entre les êtres alimentent le vivier de sa mélancolie. Pour lui, au delà du mal de vivre inhérent à l’âme humaine, seul l’Amour doit rester l’ultime quête de la vie.
En remportant le Concours National 2008 de la plus belle lettre d’amour, organisé par la Poste, cet artiste rare confirme son talent d’envoûteur des sentiments.

Bernard RICHER est né en 1951 à Blois. Il a cinq ans quand ses parents s’ installent en région parisienne. Après ses études supérieures, il entre dans le monde de la publicité, où il fera toute sa carrière.
Dès l’âge de 14 ans, il écrit ses premiers poèmes. De son maître littéraire Arthur Rimbaud, il prend le goût des voyages lointains, et cette inextinguible soif de liberté. Après de longues années passées dans l’anonymat, il est enfin récompenser par ses pairs en gagnant le Concours National 2008 de la plus belle lettre d’Amour intitulé « Ma quête ».
Habitant au bord de la mer son âme aime vagabonder le long des sentiers de douaniers. Ses autres passions sont la botanique, la musique, et l’économie.

Si beaucoup d’entre nous recherchent une place et un rôle à jouer dans ce monde, qu’en est-il de celui que nous jouons dans le cœur des autres et au sein de notre imaginaire ?
Avec un regard oscillant du sombre au passionné ce recueil de poèmes nous propose de questionner notre rapport à l’altérité, au sens et à l’importance que l’on attribue aux gens, à l’amour, au rêve. Dans une recherche de validation par autrui et d’acceptation de soi, «En quête de l’affect», avec ses 160 poèmes témoigne d’une forte volonté d’aborder la vie ensemble, d’y faire face ensemble, de ne rien céder aux vicissitudes, aux déceptions, aux échecs.
Chacune des tranches de vies que sont ses courts poèmes sont aussi l’occasion de délivrer un message d’espoir qui s’accompagne d’un regard critique esquissant indifféremment individus, groupes et institutions. A tout instant, l’affect sera l’état de l’esprit qui a guidé l’écriture donnant place primordiale à la sensation, l’émotion, le sentiment et à l’humeur.

Porté par l’énergie de la publication de son premier recueil de poèmes, « Les moissons du ciel », Jérôme Verneau poursuit son projet d’art thérapie avec pour thématique principale le sentiment amoureux. Loin des standards académiques, son écriture mélancolique et authentique lui permet plus que jamais d’avancer dans la vie. Entre pudeur, catharsis et recherche d’un idéal de société où il pourrait enfin trouver sa place, Jérôme plus que jamais, souhaite écrire.