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Le bel officier suédois Axel de Fersen est réputé, à tort ou à raison, l’amant ou au moins le tendre confident de la Reine de France Marie-Antoinette. On le donne ainsi souvent pour le père du malheureux dauphin Louis XVII emprisonné au Temple.
Mais sait-on que sa souche maternelle est occitane, et que son ancêtre, le mercenaire Pontus de la Gardie, devenu par ses seuls mérites Vice-Roi de Suède, était le fils d’un modeste drapier de Caunes en Minervois, au pied de la Montagne Noire ?
« Tout me conduit vers toi » est le récit d’une conjonction étrange que seule l’Histoire dans sa sinuosité, sait souvent fomenter.

Jean Broutin est originaire du nord de la France mais il demeure aujourd’hui en Occitanie. Il a publié en France, en Suisse et au Canada, à ses débuts surtout des romans historiques avec l’hérésie cathare en toile de fond. Il est Sociétaire de la Société des Gens de Lettres de France.

En 1979, Bernard Veyrent, fraîchement sorti d’école de commerce, toque à la porte d’une enseigne de la Grande Distribution et décroche son premier contrat de travail. Très vite, il va découvrir, parfois à ses dépends, un monde sans scrupule, sans foi ni loi, un univers où les arrangements et les combines font partie du quotidien. Un univers où se croisent les arrivistes, les donneurs de leçon, les méchants, les bons, les égoïstes mais aussi les gentils compétents, généreux, plein d’humour. Cette alchimie crée un lieu de convivialité , de joie où il fait bon vivre. Une planète où le client rayonne et dont la marge est le satellite. Ce livre est le reflet d’un lieu en complète mutation, et retrace fidèlement une période révolue, une période phare, faste de cet univers mystérieux, très fermé et trop secret. Il est le reflet de la vie au quotidien dans un hypermarché.

Bernard Veyrent a passé près de 20 ans dans la Grande Distribution. Il en connait tous les méandres. Depuis 2003 il met ses connaissances, ses compétences en tant que formateur au service de nombreuses grandes enseignes telles que Leclerc, Carrefour, Intermarché, Casino, Spar...

Eté 2012, l’inspecteur Camino de la police genevoise enquête sur une disparition de rubis, à la demande d’un joaillier de la place.
A la même époque, trois jeunes étudiants de l’Université de Genève, Alexandre, Matthias et Vanessa décident de partir en vacances en Birmanie. Malgré leur budget serré, ils veulent découvrir ce pays magnifique et exotique. Ils partent sur les traces de Joseph Kessel, Georges Orwell ou Norman Lewis, parmi tant d’autres.
Arrivés à Rangoon, Fiona Edwards, une touriste anglaise qui loge dans le même hôtel qu’eux, disparaît mystérieusement. Les trois jeunes suisses décident alors d’aider Ben Edwards, le mari de Fiona, à la retrouver.
De fausses pistes en déceptions, de la périphérie de Rangoon jusqu’aux temples de Bagan, en passant par Mandalay et le lac Inle, un périple initiatique qui leur fera comprendre que sous la douceur birmane peut se cacher une réalité plus sombre.

Née en 1982, Sandrine Warêgne est une auteure belgo-suisse. Un crime couleur rubis en Birmanie est son deuxième roman, après Le banquier du quai du Mont-Blanc (Editions Mon Village, 2015).

Un jeune japonais, retrouvé sur les marches d’un temple bouddhiste, à Kyoto est élevé dans cette culture et formé aux principes d’un Samouraï moderne. Mais la vie lui réservera, à l’aube d’une carrière professionnelle prometteuse, une surprise improbable qui changera le cours de son chemin de vie.

Daniel Lacouture aime se projeter dans des histoires où l’identité des personnages n’est pas forcément celle de leurs origines. Médecin généraliste, poète et auteur compositeur interprète de chansons françaises, il aime magnifier de couleurs joyeuses la vie et mettre en adéquation sa recherche du bonheur et la fraternité qu’il aimerait retrouver dans le cœur les hommes.

Milan, capitale de la mode et du luxe. L’ouverture de la Fashion week, ce rendez-vous de l’élégance et du glamour promettait d’être inoubliable. Un défilé définitivement inoubliable pour la plus célèbre des top models retrouvée sauvagement assassinée au pied des petits chevaux de bois de l’antique carrousel Vénitien.
Alors que l’enquête Italienne s’enlise, l’affaire va connaître de nouveaux rebondissements avec le meurtre d’une riche Napolitaine sur la petite île de Porquerolles. Pour le Capitaine Rafael Moretti, pas de doute, même modus operandi, les deux femmes ont bien été exécutées par le même assassin. Un monstre qui signe ses crimes avec cruauté. La signature d’un tueur en série ?
Le flic Parisien et la troublante Victoire, la meilleure amie de la première victime mais aussi la meilleure ennemie de la seconde, vont se lancer sur les traces d’un dangereux psychopathe. Une chasse à l’homme, un road movie angoissant des neiges diamantées de Gstaad aux rivages cristallins des Îles d’Or, des plus belles villes d’art et d’histoire de la botte Italienne à la très secrète Procida.
Le compte à rebours a commencé, le piège mortel ne risque t’il pas de se refermer sur d’autres innocents ? Mais le sont-ils vraiment ?

Carole Martinez De La Lucade aime construire ses polars comme des puzzles, des kaléidoscopes. Un univers noir, des personnages troubles, de lourds secrets éclairés par la légèreté poétique des carnets de voyages. Mortel Carrousel est le troisième roman de l’auteure qui s’est lancée dans l’écriture dès la fin de son parcours professionnel dans une grande entreprise publique. Elle vit sur la Côte d’Azur.

Un confinement interminable / Roman inspiré de faits réels.

Été 1939 - Alexandre vit paisiblement en Bretagne avec son épouse et son nouveau-né. Soudain, la guerre est déclarée et il est enrôlé en première ligne sur le front de l’Est avec son régiment du génie. Son odyssée le transportera ensuite dans les Flandres, en Belgique puis à Dunkerque où il manquera de peu le dernier bateau pour l’Angleterre. Fait prisonnier, il marchera jusqu’en Hollande pour être ensuite acheminé vers deux camps de prisonniers en Poméranie. Des stalags au village de Schivelbein où il travaillera dans un kommando de travail pendant cinq années interminables de confinement, Alexandre traversera de nombreuses aventures tragiques, mais aussi parfois cocasses, entouré d’une pléthore de personnages attachants - Jean, le blagueur érudit, Fanch le bon vivant, Théo le courtier simplet, Léon l’instituteur malchanceux, Violette la vieille fille organiste, Émile le ténor, André le meunier poète, Frida l’ensorceleuse teutonne et son amant Janusz le bossu boiteux, Gus l’évadé ingénieux et facétieux, Amadeusz le transporteur francophile, Gérard le renard, Ben le Texan libérateur, Dmitri le soldat russe latiniste, Marie l’amoureuse à la folie, et bien d’autres encore. L’Armée rouge libèrera Alexandre ; il vivra alors de nouvelles péripéties dramatiques avant son retour, après six années d’absence, auprès de son petit garçon inconnu et son épouse qui l’attendaient impatiemment.

Alain Rolland, originaire de Bretagne, vit à San Diego en Californie avec son épouse, ses trois garçons et ses petits-enfants. Docteur en Pharmacie et titulaire d’un doctorat (Ph.D.) en Sciences Pharmaceutiques, il travaille depuis trois décennies aux États Unis dans l’industrie pharmaceutique et les biotechnologies. Il aime la musique et la peinture, qu’il pratique en amateur, la lecture de romans historiques et d’aventures, la plongée sous-marine, les randonnées et les voyages.

La vie devenant de plus en plus insupportable en métropole, le couple Belkacemi rêve d’un ciel plus avenant. Sur les conseils d’un ami et camarade Karim, médecin au CHU Mustapha, ils décident de s’installer dans la région natale et montagneuse de leurs parents et grands-parents.
Tahar, éminent avocat algérois, suit avec attention les évènements qui bouleversent le monde. La situation que son pays traverse le préoccupe. Mais l’envie d’une vie moins contraignante, ailleurs que l’endroit où l’on a longtemps vécu, constitue-t-elle toujours la meilleure option ?... Peut-on échapper aux vicissitudes de l’existence ?

Nacer Achour est né en 1963. Il nous convie à nouveau, avec ce dense roman, à le suivre vers des lieux auxquels il tient à rendre ici hommage.
Nous irons jusqu’au bout de nos peines est une autre étape d’un feuilleton dont la première partie, Dernier été, fut publiée chez l’Harmattan.

Inspiré de la disparition dans les ports français d’une dizaine de cargaisons maritimes marocaines durant les grèves du mois de mai 1968, ce roman relate les péripéties d’un jeune commissaire aux comptes dépêché en France pour retracer les marchandises volatilisées. Sa rencontre avec une jeune historienne apostillera son information de chroniques et enjôlera ses nuits durant son périple qui l’entraînera de la France en Allemagne, de l’Allemagne aux Pays-Bas, des Pays-Bas en Belgique et de la Belgique à Casablanca avant de se voir embarqué pour Abidjan.

Né au Maroc, Saïd Liraki vit en Europe depuis 1969. Après une carrière de diplomate et de chef d’entreprise, l’auteur qui s’exprime couramment en cinq langues, féru d’histoire et de littérature, s’est voué à l’écriture. Octobre 68 est son troisième roman.

Récit d’aventures en Guyane à la fin des années 80. Afin de fuir un mortel ennui dans l’hexagone, Bob un jeune professeur découvre le microcosme d’un village sur le fleuve Maroni. Catherine, son amie cinéaste l’aidera dans sa quête à vivre dans un monde plus juste. Dans cette forêt amazonienne rêvée, les comportements sont exacerbés par le sentiment d’impunité ambiant. Quand le consentement des femmes semble de mise, des individus communs peuvent se révéler comme des prédateurs ordinaires. Entre l’obscurité cachée et la lumière rassurante dégagée par certains personnages, les choix du jeune homme transformeront sa vie.
La délivrance et la liberté sont au cœur de ce récit. Échapper à la moiteur passive pour rentrer dans la vie et passer à l’action. Les héros de ce roman ne se contenteront pas de ressentir et de dénoncer les injustices !
Zoé Samotraki avait écrit son premier roman à Kaboul. C’est en Amazonie que se situe cette fois, cette aventure.
« On peut-ouvrir un livre par curiosité mais pour le terminer, c’est comme un voyage, il faut cheminer, prospecter, humer, toucher, caresser, pleurer, rire, trembler, vivre. Lire quoi ! Et relire ! »
Alors bon voyage !

Zoé Samotraki a vécu et travaillé dans de nombreux pays en Amérique latine, en Afrique, en Europe et en Asie. Chaque pays lui permet de raconter une histoire essentielle et universelle.

15 nouvelles et 7 contes, 22 textes pour ressusciter des passés enfuis et enfouis qu’il nous reste à imaginer à présent.
Certains dissèquent le sentiment religieux et la foi d’autrefois comme Le curé du démon. D’autres observent au microscope des anecdotes minuscules ou bien ramènent à leur réalité des histoires cocasses, telle La vie simple d’Alfred Bonjour, étonnantes, invraisemblables ou bibliques comme Roxanne et le vieillard.
Parfois on y taquine les esprits qui ne se font pas trop prier pour revenir se manifester au milieu des vivants, contre toute attente : c’est le cas de La table de nuit.
Le bien et le mal, l’amour et la haine, la subtilité ou l’indélicatesse se disputent notre attention de voyageurs temporels sans boussole.
Mais attention, plus nous essayons de remettre nos pas dans les traces que nous croyons avoir laissées dans les lieux d’hier, plus nous les effaçons.

Daniel Roualland est né à Nantes près de l’actuel musée Jules Verne. Il y a étudié puis enseigné la philosophie. Ensuite, après avoir fait le tour de l’Europe de l’Est en auto-stop, il rentre à la Poste où, après avoir travaillé dans les trains postaux la nuit, il a exercé les métiers de psychosociologue et de sociologue. À cette occasion, il parcourt la France depuis Poitiers, Rennes, Strasbourg et Paris.

Une histoire de famille où le passé obscur et secret devient le présent des protagonistes.
Un nouveau dossier sur des disparitions, où les corps retrouvés seront toujours placés à l’orée d’une forêt, proche de Chantilly avec toujours le même rituel, la même façon de procéder.
Pourquoi ces femmes sont-elles séquestrées et torturées ? Pourquoi leur enlever un morceau de langue et une mèche de cheveux ? Et surtout, pourquoi les marquer d’une croix nimbée ? Serait-ce un symbole religieux ou un clin d’œil à une sororité voire une fraternité ?
L’amour, la haine, les épreuves, les blessures seront au rendez-vous tout comme les châtiments ainsi que la torture morale et physique.
Les investigations que mèneront Charline et Nelson les entraîneront au Laos à la recherche de la vérité.
Cette enquête particulière ne les laissera pas indemnes.
La souffrance, l’incompréhension face aux carnages des corps meurtris les mèneront vers l’impossible et surtout l’impensable…

Val Roby, originaire du Bassin d’Arcachon, a toujours aimé voyager. Après avoir vécu en Afrique et en Irlande, elle se consacre à son travail mais garde toujours ce goût prononcé pour les voyages qu’elle utilise dans ses romans comme décors.

L’or au pied des narcisses ou l’histoire de l’enfant qui sauva le monde

Dans des conditions très particulières, Red Pick découvre un bijou qui va l’entrainer lui et ses protecteurs dans une incroyable histoire. « L’or au pied des narcisses » promène le lecteur dans un espace-temps large, de la Normandie au nord de l’Italie, en passant par Collioure ou Port Vendres et, sur le plan temporel, de l’après-guerre à notre époque. Ce road movie est conduit par Trévor, écrivain repenti et journaliste free-lance, accompagné de Dom, son compère blogueur. Une Studebaker comme un coffre-fort, des personnages loufoques ou attachants, de l’humour et des rebondissements, Manola, madone venue des enfers.
L’idée sous-tendue tout au long du roman est la question des enfants soldats. Il brasse en arrière-plan des thèmes autour de l’enfance, de la résilience, de la littérature.
Mystère, vraisemblance, humour, émotions, sont les leviers de cette histoire organisée comme un pur divertissement. À vivre sur terre comme au ciel, avec de la légende certifiée et une playlist majuscule.

Ecrivain aux influences éclectiques, les productions de Patrick Agostini abordent des thèmes universels et parfois graves. On lui reconnait un univers décalé, un style, exigeant, précis, proche de celui de Pierre Combescot. Cependant, l’humour, la truculence et l’humain sont ses terrains de jeu privilégiés, où il laisse s’exprimer une imagination débridée. Il n’est jamais là où on l’attend. C’est son quatrième roman.