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Voilà qu’il faudrait s’unir, mais voilà qu’il y aurait quelque chose d’avance rompu dans l’union. Que veut-on l’un de l’autre ?
Nous sommes toujours deux est la tentative, sous une forme poétique, d’approcher l’impossibilité de l’union, ce que certains auteurs traduisent ainsi :
Freud : « Aussi étrange que cela paraisse, je crois que l’on devrait envisager la possibilité que quelque chose, dans la nature même de la pulsion sexuelle, ne soit pas favorable à la réalisation de la pleine satisfaction. »
Lacan : « L’amour, c’est donner ce qu’on n’a pas à quelqu’un qui n’en veut pas. »
Gainsbourg : « L’amour physique est sans issue. »

Ce texte est écrit à quatre mains :
Patrick Fontaine est professeur de philosophie et philosophe ; il est l’auteur, entre autres, de : L’amour de la non-philosophie (Kimé), Platon autrement dit (L’Harmattan), Les douze travaux de l’homme radicalement bon (Pétra).
Pauline Ladier est professeure de lettres.
Tous deux ont couché sur le papier, à l’endroit de ce qui convoque autant la sensibilité littéraire que les perspectives philosophiques, cette rencontre qui interroge l’amour, et ce que nous en faisons de l’amour, et comment nous nous en sortons, ou pas.

« La curiosité est un vilain défaut ! »
Combien de fois avons-nous entendu cette expression longtemps répétée de la bouche de nos parents, de grands-parents, de nos instituteurs, de nos professeurs et …même de nos amis !
Il faut dire que le mot « Curiosité » a bien mauvaise réputation et l’histoire ne fut pas tendre avec les gens curieux …. Ève a croqué la pomme, Pandore a ouvert la boîte et elles en ont payé le prix !
Véritable outil au service de l’humanité, la curiosité a permis à l’homme (qui est équipé dès la naissance !) d’évoluer tout au long de l’histoire et fut à l’origine des grandes découvertes scientifiques et technologiques.
Bien utilisée, justement dosée (sans tomber dans l’excès et le voyeurisme !) la curiosité est un formidable sésame aux multiples portes qui est la clé de notre développement personnel, de notre bien-être physique et mental.
C’est une boussole qui permet de mieux comprendre l’humain dans un monde en constante évolution.
Loin d’être un vilain défaut, la curiosité est une qualité qui nous offre des bienfaits extraordinaires !

Titulaire d’une Licence en Droit et diplômé d’un Master en Management Public de l’École Universitaire de Management (IAE) de Nancy. Yannick Alexandre est Inspecteur des Finances Publiques. Curieux et touche-à-tout. Il signe un essai très instructif sur cette jolie qualité qu’il exerce dans son métier et sa vie quotidienne. Il avait publié auparavant son premier ouvrage « L’Esprit du Progrès, la France une Nation Phénix » en 2017.

« Voyages en Litanie » est une anthologie de textes poétiques créés au long cours. Ces textes choisis entrent naturellement dans un mouvement cyclique, dans une pérambulation parfois empreinte de sonorités musicales, à travers l’espace aussi bien que le temps.
Le recueil tout entier est ancré dans l’effervescence de la vie et témoigne de ce qui compose la tragédie humaine : l’amour, la mort, la trahison, la solitude, la tentation du désespoir.
« Voyages en Litanie », enfin, c’est une voix, une voix qui n’hésite pas à emprunter divers registres pour mieux se faire entendre : le cri poignant d’un homme révolté, l’invocation douloureuse d’un fils, et si l’on tend bien l’oreille, on parvient aussi à distinguer un souffle, un murmure, celui de l’enfant au cœur ardent, tapi, mais qui continue à palpiter au fond de chacun de nous.

Frédéric Lemaire est né en 1968 dans les Hauts-de-France. Docteur en archéologie et en histoire, chercheur, il prend régulièrement la plume pour rédiger articles et ouvrages à visée scientifique. « Voyages en Litanie » est son premier recueil de poèmes.

Vous est-il déjà arrivé un jour de penser que deux simples points pourraient changer, ou du moins, impacter votre vie ? Il serait raisonnable ici d’évoquer la marque de ponctuation sous une ou plusieurs formes mais il conviendrait également d’imaginer leur portée sous les traits des mœurs et du quotidien. De la pure niaiserie, me direz-vous, et cela sans sourciller. Pourtant, au détour de certains évènements, de quelques situations et de plusieurs lendemains, il arrive étonnamment que deux points puissent faire une différence. Mais entre quoi et quoi ? Ou même entre qui et quoi ? Le mystère demeure encore, quoiqu’il serait peut-être en passe d’être éclairci. La lecture de ce livre vous emmènera, au travers d’anecdotes de la vie, sur les terrains de compréhension de ces subtiles questions, et cette fois-ci, il n’y aura nulle nécessité que vous vous accommodiez aux conclusions possibles car vous aurez très probablement trouvé votre conclusion, précisément celle que votre analyse et votre intuition vous dicteront. Un programme qui s’avère bien réjouissant, quoiqu’intrigant. N’y voyez là aucune malfaçon mais simplement le récit ironisant, amusant, et le temps de quelques lignes, poignant autour de deux petits points. La balle est donc dans votre camp. Il est donc inutile de compter les points…

Après l’ouvrage 3974 paru en 2022, Olivier Auré signe ici son cinquième roman, un récit à la fois amusant, affectueux et sur fond de morale de certaines histoires du quotidien, fictives pour quelques unes et réelles pour d’autres, mais portant toutes en rédemption d’opiniâtres mystères.

Le Nakhizal, petit émirat pétrolier du Golfe en mal de touristes et en quête d’une bonne image à l’étranger, organise une Coupe du monde de football particulièrement disputée. Parmi les pays prétendant sérieusement au titre de champion se trouvent notamment la Yanciterre, contrée africaine soucieuse de stabiliser un régime fragile et de prendre sa revanche sur des puissances européennes symbolisant pour elle le passé colonial, mais également l’Oussalikristan, État totalitaire issu du bloc soviétique, en Asie centrale, dont les joueurs, anciens militaires d’élite, ont été formés dans le seul but de remporter la compétition. La présence de cette équipe d’un genre nouveau va cependant poser un dilemme particulièrement douloureux pour les autres équipes, dont la perspective de victoire n’aura jamais semblé aussi coûteuse.

Tudual Le Droumaguet est né le 13 avril 2000 à Cherbourg-Octeville (aujourd’hui Cherbourg-en-Cotentin). Après avoir grandi dans les Côtes-d’Armor et avoir obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Saint-Joseph de Lamballe en 2017, il a entrepris des études d’histoire à l’Université Rennes 2, où il a obtenu sa licence en 2020, puis un master de recherche deux ans plus tard. Après avoir publié La Façade en mai 2021 et Auguste II, ou l’Inaliénable identité en avril 2022, il signe avec Coupe réglée, son troisième ouvrage.

« Le chalet d’alpage ne se trouve qu’à quelques pas dans une petite clairière, un endroit peu connu des randonneurs, perdu entre forêts, montagnes rocheuses et prairies. Il l’a repéré quelques jours avant et aménagé dans l’après-midi pour recevoir sa proie. Là-bas, sa folie pourra prendre vie. Il a tout orchestré… Seuls les chouettes et les hiboux témoigneront de cette nuit timidement fraîche d’un jeudi d’octobre. C’est le début du chaos, de son chaos. »
Le commandant Justin Parisso et l’inspectrice Elsa Galabert se retrouvent dans une enquête palpitante. Qui, de la souris ou du chat, va gagner cette course insensée dans les profondeurs du mal ?

Jimmy Agnol, 43 ans, passionné de randonnée et de lecture, principalement de thrillers, vous emmène pour son premier roman dans les méandres de la folie humaine. Êtes-vous prêt à embarquer dans cette histoire et à descendre dans l’antre du diable ?

Un roman foisonnant, facile à lire, pas toujours facile à saisir. Il raconte l’histoire d’un homme, d’un voyageur anodin. Cet homme initie son voyage au cœur de la Colombie actuelle, ce pays riche en traditions où il rencontre l’amour et les habitants.
De la préparation de son voyage jusqu’au fin fond du Canada, il nous fait part de ses rencontres et de ses découvertes culturelles. Entre son étonnante arrivée à Bogotá et dans le petit village de Pacho, son exploration de la forêt amazonienne et de la côte caraïbe, ce personnage nous invite à découvrir pas à pas avec lui ce qui l’entoure.
Il rejoint par la suite le Canada où il travaillera dans un manoir à l’ambiance sordide.
Par son regard singulier et surprenant sur le monde ainsi que son écriture vive et expressive, il aborde et amène à réfléchir sur des questions centrales : le passage du temps, la beauté, la mort, les souvenirs.
A la fois poétique, comique et profondément émouvant, Balade au bout de la volonté est une exploration de la nature humaine et une interrogation sur ce que nous sommes.

Après un parcours universitaire dans le sport et la psychologie, l’auteur, Arthur Argoud, part à travers le monde avec comme premier pays la Suède. Toujours plus dans l’action que dans l’attente, ce sont les rencontres, la philosophie et la découverte récente de la bonne littérature qui l’ont poussé à écrire un roman. Sociologue dans l’âme, c’est le comportement humain dans sa conception la plus large qui l’intéresse. Pour cela, l’étude théorique exclusive lui est impossible, c’est à travers la pratique et l’expérience qu’il comprend le monde.

« Un Amour au Sahara » est une fiction romancée. Les personnages sont directement inspirés d’histoires réelles, puisées dans les traditions et rites guerriers ancestraux, accomplis sous la bannière religieuse, au cours des conquêtes idéologiques ayant jalonné l’histoire du monde musulman.
Ce récit est plus qu’une simple romance, c’est un hommage à la résilience humaine, à la beauté austère du Sahara, à la chaleur universelle de l’hospitalité et de l’amour, même dans les endroits les plus improbables. Alors que l’intrigue se déroule, les lecteurs sont emportés par les tourbillons de sable et de sentiment, témoins de la capacité de l’amour à éclore comme une fleur rare au milieu d’un désert souvent perçu comme inhospitalier.

Bouzid Boumezoued, ancien aiguilleur du ciel est un auteur autodidacte francophone. Il est passionné de littérature.

En 2057, un trust international géant rachète toutes les dettes publiques des Etats-Unis et d’Europe, prenant ainsi le contrôle de presque la moitié de la planète. En quarante ans, la « Warren Inc » réussit à rétablir la sécurité et la prospérité mais au détriment de la démocratie et des libertés.
Dans ce monde où les moindres faits et gestes des citoyens sont contrôlés par le trust, un seul mot d’ordre : survivre sans faire de vagues. C’est le principe qu’a toujours suivi Pascal Langlois, un employé du service social de la police que la vie n’a pas épargné.
Le meurtre de sa jeune voisine guyanaise va tout changer… Approché par des membres du groupe Alpha, le principal groupe dissident, Pascal accepte d’aller en Guyane pour récupérer une clé USB dont le contenu explosif est susceptible de faire tomber la toute-puissante « WARREN ».
Mais est-il prêt à mettre sa vie en danger pour des résistants qui cultivent l’art du secret et du mensonge ?

Ancien cadre commercial dans les télécoms et fondateur de l’association « Pour La Vie », Pascal Laurie est passionné par les voyages, la géopolitique et l’écologie. A 60 ans, il écrit son premier roman « 2097 – Réminiscence » qui nous embarque dans une société futuriste sur le point d’imploser et nous invite à repenser notre place dans le monde.

Tout semble lui réussir. Pourtant, il se sent en décalage croissant avec l’époque : les succès de sa carrière, dédiée à la protection de l’environnement, lui paraissent dérisoires face à l’immensité des enjeux ; il perçoit les interactions avec les personnes qu’il côtoie, amis ou connaissances, clients ou collaborateurs, comme des agressions. Lassé de cette lutte quotidienne, il s’envole pour l’Inde. Là-bas, il lâche progressivement prise et s’éloigne des sentiers balisés. Peut-être un peu trop...
Face à la gravité de la crise écologique et sociale actuelle, la mobilisation croît mais le découragement guette souvent. L’écoanxiété augmente et ses conséquences sont multiples. Des écologistes activistes bloquent les assemblées générales de multinationales ; des étudiants annoncent qu’ils désertent le système le jour de leur remise de diplôme ; de plus en plus de salariés ne trouvent plus de sens à leur travail, notamment quand ils prennent conscience que les enjeux environnementaux et sociaux sont trop négligés. S’ensuivent alors démotivation, burn out, reconversion professionnelle parfois radicale... Grande démission nous plonge dans les doutes et les découragements d’un quadragénaire subissant de plein fouet ce nouveau mal du siècle.

Sébastien Soleille travaille depuis plus de 20 ans dans le domaine du développement durable et de la transition écologique. Il est aux premières loges pour observer la montée des sujets environnementaux et leurs impacts, tant économiques que sociaux ou psychologiques. Grande démission est son premier roman.

En 2043, un Airbus est victime d’une collision au-dessus de la Manche avec un objet volant non identifié.
Les recherches et les analyses effectuées par les autorités compétentes, dont les autorités militaires, le BEA et le GEIPAN, parviennent à en déterminer la source. Il s’agit d’un moyen de transport sphérique de toute évidence non terrestre qui a fini par être trouvé au fond de l’océan.
A l’intérieur, on y trouve un être qui a tout de l’apparence d’un humain, mais est extra-terrestre. On le surnomme Océan.
On le croit tout d’abord mort, mais on parvient à le sauver et on se pose alors de nombreuses questions. D’où vient-il ? Pourquoi est-il venu sur notre planète ? Comment parvenir à communiquer avec lui sachant qu’il ne parle pas et n’entend pas ?
Après avoir surmonté bien des difficultés, on finit par trouver un moyen très surprenant de dialoguer avec Océan.
On découvre alors un être particulièrement étonnant et qui va nous révéler des choses très surprenantes sur notre histoire passée. Il détient également des secrets technologiques très en avance et qui attisent la convoitise de beaucoup…

Ingénieur de formation, 60 ans, diplômé de l’École Nationale de l’Aviation Civile, Henri Teboulle vit dans le Val-de-Marne. Il travaille dans le domaine de la Haute Technologie en tant qu’expert émérite en traitement du signal tout en ayant la responsabilité de l’innovation de sa société, ce qui fait de lui un inventeur dans la mesure où il dépose régulièrement des brevets et doit imaginer l’avenir. Il est passionné par l’histoire et lecteur fervent de romans historiques.

Dans ce recueil de poésie, les mots ainsi délivrés, expriment des sentiments d’amour, de passion, et révèlent que l’amour transcendant perdurera pour toujours afin que les souvenirs deviennent plus vivaces que l’instant présent. L’amour en soi est un éternel recommencement, chaque jour renaît un nouvel amour, dévoile de nouveaux sentiments célébrants l’attirance, la passion, l’harmonie face à une nature incrédule qui nous renverse tout cet amour.
Il y a comme une atmosphère, là où règne une douce harmonie, comme tu le rappelais si souvent. Il y a toujours cette magie, comme ce doux parfum enivrant. Décharge électrique ressenti, comme un faisceau. Éclair de jouissance, pénétrant notre tréfonds. Secrètement, nous empruntons fiévreusement nos bas-fonds. Secrètement, ton attachement s’est immiscé, à me rendre esclave, fou capitulant. Mon affection s’est étendue, captivé de cette ardeur, ce courage émouvant. Aucune autre femme, siégeant cette forteresse ne m’a point touché, éblouie ! Ta clairvoyance a défié mes prouesses ; Fortifiant ainsi sans calcul, notre alchimie. Yasuke

Franck Debrose est né en 1966 à Fort-de-France (Martinique). S’étant essayé à diverses formes d’arts (photo, dessin mode, musique et l’écriture), c’est, finalement, l’écriture qui l’a conquis. Il a commencé par écrire des chansons, puis petit à petit la poésie s’est immiscée naturellement à en devenir sa passion. Féru d’arts martiaux, son univers s’inspire de la culture asiatique où il s’essaye à la réalisation de Haïku Japonais.