Rationnelle et non politisée, fondée sur la relation sociale entre individus, la théorie stable de la cohésion sociale et sa dualité avec l’action économique suit, schématiquement, un raisonnement :
Un postulat de bon sens : Sans relations entre individus il n’y a pas de société. La valeur sociale, fondatrice de la cohésion sociale, c’est donc la relation sociale. Le bon sens veut que : le bien social c’est l’amélioration des relations en quantité et en qualité. Pour apprécier la qualité d’une société, il faut alors en mesurer le produit : quantité x qualité de ses relations sociales.
La structure du point de vue quantitatif conduit à la dualité, en observant les structures quantitatives communes à la cohésion macro-sociale et à la macro-économie. La dualité permet de raisonner par analogie et d’identifier les caractéristiques qui fondent la dualité quantitative. (Travail, PIB, croissance, inflation...).
Le raisonnement déductif mène à la conception d’une méthode d’analyse des décisions puis à la conception d’outils de régulation. La logique déductive conduit à la méthode évidente d’analyse des effets sociaux des décisions économiques. La conséquence qui en découle est la nécessité d’un outil nouveau de régulation de type bonus / malus prévisible pour les entrepreneurs, donc efficace sur le long terme. Méthode et outil sont indépendants des philosophies politiques. Chaque parti peut en tirer partie pour atteindre ses objectifs en bénéficiant d’une vue éclairée par la logique.

Bertrand Maurice Delacroix un informaticien, féru de prise de recul théorique, de cohésion sociale, d’économie, de création d’entreprises, rompu aux structures des processus d’action, à l’analyse relationnelle de type entité association, et à l’analyse objet des comportements des acteurs.