Romans

Histoire d’une femme qui n’a jamais eu vingt ans

Comment peut-on vieillir sans avoir eu vingt ans ?
Ukraine. 1942. La veille de ses dix-sept ans, la jeune Marya est enlevée par les soldats nazis pour travailler dans les fermes d’Allemagne.
Ces pages racontent l’épopée d’une jeune fille arrachée à sa vie pour être emportée dans les tumultes de l’Histoire.
Héroïne de la vie presque ordinaire de cette époque troublée, ce roman est tiré de ses souvenirs.

Maxime Spriet est professeur d’économie et auteur de ce premier roman passionné. Il est originaire du Havre. Avec « Babushka » Il signe son premier roman, une fresque historique qui tisse habilement les fils d’une épopée familiale. Avec ce récit il invite le lecteur dans un voyage à travers le temps, révélant les nuances complexes et les impacts des événements sur les vies individuelles.

« Écrivez ! Mettez sur le papier votre histoire d’oreille et d’acouphène ; expliquez comment vous avez fait pour gérer au mieux ce bruit obsédant. Je ne suis pas loin de penser qu’ainsi, vous redonnerez un peu d’espoir à ceux qui croient que tout est perdu ! »
En sortant de l’hôpital après une nouvelle visite de suivi, Yvan avait en tête cette suggestion de l’ORL, lancée plus ou moins sérieusement.
Le sujet des acouphènes revient périodiquement dans les magazines de santé ou ceux de psychologie. Alors, qu’écrire d’original sur le sujet ?
Pourtant, plutôt que de se laisser entraîner, comme tant d’autres, dans un long combat contre le bruit intérieur qui anime ses jours, ses nuits, toutes ses heures, Yvan a choisi d’apprivoiser ce vacarme que rien ni personne n’a, jusqu’à présent, réussi à déloger de son oreille.
Il a même fait de cet étrange souffle auditif son compagnon de route, le baromètre de son état de forme. Et pour mieux s’entendre avec lui, il lui a donné le joli surnom de Flo... devenu finalement le personnage central d’un récit plein d’optimisme !

Sylvain Picaud aime écrire. Textes courts, textes longs, quelques vers… tout ce que l’inspiration du moment projette sur le papier. En se saisissant de l’impact des acouphènes sur le quotidien, il a imaginé ce récit inspiré par sa propre histoire et destiné à tous ceux qui redoutent de passer le restant de leur vie avec ce tintamarre dans les oreilles….

Mahmoud présente une trame narrative poignante qui explore la quête incessante de l’humanité pour l’immortalité, se soldant inexorablement par un échec dans cette entreprise éloignée. L’antihéros de cette œuvre se consume dans un désir ardent de s’immerger dans l’écriture et, par ricochet, d’atteindre la notoriété. Il se laisse emporter par la lecture assidue des biographies d’écrivains éminents à travers le globe, abandonnant ainsi les véritables plaisirs que la vie pourrait lui offrir, tout cela dans l’objectif de s’affirmer en tant qu’écrivain et de savourer les délices de la renommée. Cependant, la muse de l’écriture ne se révèle pas, laissant la place à la mort qui survient, ses mains tenant le présent d’un roman qui s’étiole à ses balbutiements...
Ainsi, Mahmoud incarne la recherche insatiable de la célébrité propre à l’homme moderne, un désir dont la flamme persiste indomptablement au plus profond de nos cœurs humains.

Rouhollah Hosseini (Atash), né en 1978 en Iran, occupe le poste de professeur à l’Université de Téhéran. Auteur prolifique, il a déjà à son actif deux romans : Moi aussi, j’ai attrapé le coronavirus, récompensé par deux prix nationaux, et Galaxies, Toi, Dieu et Moi. Son œuvre comprend également un recueil de nouvelles intitulé Les Vagues et les Mers, ainsi que deux recueils de poésie, Minuit passé, publié aux éditions Candle & Fog, et Einstein et l’Amant, paru aux éditions Harmattan.

Au cœur de l’île de la Réunion, dans un décor saisissant, se retrouvent six randonneurs guidés par leur passion commune pour l’exploration. Mais ce qui commence comme une simple expédition va rapidement se transformer en une aventure pleine de rebondissements et de découvertes inattendues lorsque l’un d’entre eux disparaît.
Livrés à eux-mêmes en pleine nature, les protagonistes vont devoir faire face à la peur, à l’énervement et à une tension extrême, obligeant chacun à puiser dans ses ressources les plus intimes.
La vieille cabane est un récit captivant d’aventure, d’amitié et de découverte de soi, une invitation à explorer tant la beauté de l’île que les profondeurs de l’âme humaine.

Geneviève Langlois Leclercq, d’origine mauricienne, est autodidacte. Après avoir vécu quelques années en France Métropolitaine, elle s’est posée sur l’Île de la Réunion en 2018. Aujourd’hui, elle y vit et y travaille comme formatrice en langue anglaise. Elle est l’auteure de « Words » aux Editions Pegassus de Londres, « Raconte-moi, Indira » aux Editions Les Sentiers du Livre, « La Différence » aux Editions Nombre 7 et « Les Aventures de Blackie » aux Editions Jet d’Encre.

Adrien, le protagoniste de l’histoire, se retrouve embarqué dans une aventure assez singulière. Après un voyage plein de poésie, son périple le conduit au cœur d’une jungle où il est fait prisonnier, avant d’être étrangement libéré par un individu qui le pousse vers les sombres méandres du trafic de drogue. Au milieu de ce chaos, une rencontre bouleversante vient illuminer son existence : celle d’une femme remarquable, dont la force et la beauté le captivent. Mais que réserve le destin à Adrien et à cette femme dont la présence est devenue sa boussole dans l’obscurité ?
Ce récit est un témoignage de la résilience de l’esprit humain face à l’adversité et de la capacité de l’amour à transcender les obstacles les plus insurmontables.

Ancien équipier d’Eric Tabarly John d’Assonville est aujourd’hui professionnel dans la voile, décorateur, constructeur et sculpteur. Avec «Scarborough Road» il signe sa première publication.

Une société barbare incline à doter certains individus d’une rhétorique implacable faite de slogans et de concepts grâce auxquels les choses et les êtres perdent leur caractère d’étrangeté. La barbarie apparaît sitôt que l’étonnement face au monde s’évanouit et que lui succède paradoxalement une foi inébranlable en l’avenir de l’homme, du peuple, de la nation, de l’humanité. Ce que je comprends, c’est que les temps qui viennent seront consacrés en grand à l’élection des discours de masse, à l’ouverture d’abattoirs en tous genres, à la création de commerces des plus honteux où la valeur d’un homme ne vaudra pas plus que celle d’un porc. L’existence sera une lutte à mort pour le pain et le pouvoir au service d’une seule industrie. Le politique ne détiendra que les rênes du discours publicitaire pour le peuple, la science technologique jugera la vie à la place de la philosophie et de l’art. La pensée elle-même sera assujettie à la loi universelle de la concurrence et du profit. T. Charton

Thierry Charton vit et travaille en Nouvelle-Calédonie.