Romans

Monsieur Félon est un Procureur psychopathe jugé aux Assises pour le meurtre de sa collègue. Le Président de la Cour demande au psychologue expert de parler de la personnalité et des motivations de l’accusé. Mais le psychologue, tout en parlant du procureur Félon, tente d’aller au-delà en parlant des motivations qui sous-tendent le choix d’être juge et des rapports inconscients qu’il entretient avec la loi… L’auteur s’interroge : existe-t-il une parenté entre la problématique pulsionnelle psychopathique et le désir d’être juge ?

D’origine espagnole, José Carcel est né en 1947. Il est diplômé en Psychologie Clinique à l’Université de Louvain (Belgique). Il a, depuis 1976, exercé, trente ans, le métier de psychologue clinicien dans les hôpitaux (Général et Psychiatrie) et dans les Tribunaux en tant qu’expert.
Il est père de trois enfants. Actuellement à la retraite, il cultive sa passion pour l’écriture, soucieux de partager modestement ses idées issues de l’expérience clinique et, tout simplement, de son vécu.

En tant qu’infirmier chevronné, Damian Walker avait affronté l’enfer. Pourtant, rien ne l’avait préparé à ce jour. Le jour où il poserait les yeux sur Brooke, sa femme, une arme serrée entre ses mains tremblantes, et leur fille morte à ses pieds. Après avoir été frappé par derrière et avoir perdu connaissance, Damian s’était réveillé dans un monde nouveau. Son enfant était mort. Sa femme avait disparu. Mais qui l’avait attaqué ? Et maintenant, pourquoi un mystérieux inconnu le traquait-il ? Il était déterminé à découvrir la vérité, peu importe ce qu’il lui en coûterait.

Elle Wacheux est une étudiante à Sciences Po Grenoble, férue de Droit et de chocolat chaud. Si vous la cherchez, vous la trouverez probablement blottie quelque part, l’esprit ailleurs. Le plus souvent, cela signifie sous un plaid, un livre entre les mains et un chat sur les genoux.

Nadège, en un regard circulaire, balaie l’ensemble de l’atelier puis fixe ses yeux sur son vis-à-vis. Elle attend une réaction, elle ne vient pas. Le temps est à nouveau suspendu. Elle prend la main :
– Il faudrait qu’on ait une conversation, tous les deux, n’est-ce pas ?
– Oui, il faudrait.
– On pourrait aller boire un café ?
– Oui, on pourrait.
– Où ?
– Il y a un petit bistro, à deux pas d’ici, dans la petite rue Saint Vincent.

Pierrick Le Noane, à travers son sixième ouvrage, nous conte, sous une forme originale, l’itinéraire d’une femme, dite ordinaire, depuis son adolescence dans les années 60 jusqu’à nos jours. Ses drames, ses bonheurs, sur fond de réalisme social et de clins d’œil aux chansons des époques traversées. Un véritable hymne à l’amour.

Cela se passe un an après les évènements de mai 68, pendant l’année qui voit sur la mer de la tranquillité, l’alunissage de Eagle piloté par Neil Armstrong, et quatre ans avant le premier choc pétrolier qui multiplia le prix du baril de pétrole par quatre.
Ayant pour cadre un important centre de parachutisme sportif en Dordogne où des débutants comme des confirmés, mais tous adeptes de sensations et du dépassement de soi, sont témoins d’un incident de saut rarissime. Choqués, dans l’incompréhension, ils essaient cependant de faire avec, alors qu’une enquête diligentée par les services officiels suit son cours.
Assidu de ce centre, Jacques Barussin, jeune inspecteur démissionnaire de la police nationale, perplexe, resté fin limier et au fait des us et coutumes du milieu de l’aéronautique...ne peut s’empêcher d’y fourrer son petit flaire en parallèle...
Bon retour en l’année 1969 !

Bien connu dans le milieu de l’aéronautique et grâce à ses nombreuses publications tout au long de sa carrière de pilote, Michel Kossa partage dans ses ouvrages, sa passion de voler, ses innombrables anecdotes et par-dessus tout, son amour immodéré pour le monde des avions.

Je ne parvenais pas à trouver le sommeil, la tête encore pleine d’images de ces derniers jours, d’embrassades dans le jardin public et de promesses un peu folles pour un avenir incertain.
Les événements de la soirée me revenaient eux aussi, entre ombre et lumière, entre doux aveux de ceux qui ne voulaient pas se quitter et cris de colère de ceux qui les jalousaient.

Natif d’Arras, le parcours professionnel de Philippe Poudonson est assez atypique, passant de la création de jardin à l’artisanat d’art. Il fut également conseiller au sein d’un établissement public pour les demandeurs d’emploi.
Grâce aux conseils précieux de l’Université du Temps Libre de Lille, il signe, à plus de 70 ans, sa première publication, Ne m’oublie pas, un roman résolument optimiste.

Ce roman est un reflet de l’actualité. À l’heure où, dans les sociétés, l’isolement génère une détresse émotionnelle, l’ouvrage établit un parallèle entre le déroulement de la pandémie et l’évolution des rapports sociaux et affectifs des individus assujettis à ce fléau. La structure narrative de L’Amour au Temps des Variants est née et s’est développée autour de l’interprétation du tableau d’Amedeo Modigliani, Nu Rouge ou “Femme couchée à bras ouverts”. Anne, le personnage féminin du roman, est une danseuse classique, elle vit à Rome et ressemble à Jeanne Hébuterne, la compagne du peintre de Livourne. Cette femme possède les deux beautés, l’une intérieure et l’autre extérieure, elle a un regard profond et indéfini, mais elle ne le sait pas. L’analogie entre ces deux femmes n’échappe pas à Gualtiero, un collectionneur d’œuvres d’art, et François, un anthropologue à la retraite. Anne vit mal l’isolement, elle se sent seule et cherche l’amour en ligne, sa beauté joue un rôle déterminant, malgré ce qu’elle est en plus de son apparence avenante. Le roman est lié entre les variants amoureux et les variants pandémiques, et soucieux de raconter des histoires et de se faire témoin du temps. La pandémie de Covid bouleverse les rapports humains, accentue l’interdépendance des êtres, et souligne leur fragilité. Le bonheur est-il au bout du chemin ? Ou Anne est-elle condamnée à répéter le destin maudit de Modigliani et de sa muse ? Aviva Fried journaliste

Renata Freccero est professeure de Philosophie, d’Histoire, de Langue et Littérature Italienne. Elle a été titulaire de la chaire d’Histoire de l’Éducation Physique et des Sports à l’Université de Turin. Elle a réalisé plusieurs expositions d’art. Parmi elles figure la Tradition and Innovation - Italian Olympic Spirit, présentée à Casa Italia CONI Queen Elizabeth Centre Westminster - XXX Jeux Olympiques d’été Londres 2012. Elle a reçu la récompense «Medaglia Dedicata» décernée par la Présidence de la République italienne.