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Malgré des personnalités très différentes, Franck le rebelle, Thierry le flegmatique et Wilhelm le surdoué, sont les meilleurs amis du monde depuis leur plus jeune âge. Pendant leurs années lycéennes, le trio est rejoint par Isabelle, un ange blond au franc-parler d’un garçon manqué.
Alors qu’il s’apprête à entrer dans les ordres après des études brillantes, Wilhelm propose un rendez-vous de l’amitié : les quatre amis s’engagent à se retrouver dans quinze ans, quoi que la vie leur réserve.
Le livre commence quinze ans plus tard, lorsque Wilhelm annonce à son psychiatre qu’il ne se rendra pas au rendez-vous de l’amitié. C’était pourtant son idée…

Jérôme GOGUÉ-MEUNIER est né en 1973. Après des études commerciales et littéraires, il travaille dix ans dans les médias avant de devenir entrepreneur dans l’événementiel culturel. Chanteur passionné de musique et de littérature, il compose ses premières chansons dès l’âge de 13 ans, toujours à la recherche du mot juste et des combinaisons mélodiques les plus efficaces. Dans son premier roman, F.T.W, l’auteur donne vie à quatre personnalités attachantes et complexes qui lui permettent de développer, sur fond de rock n’roll, des thèmes fondamentaux comme la religion, l’argent, la fidélité et le passage à l’âge adulte.

L’opérette est au cœur du patrimoine musical français pendant un siècle après 1850 ! Sous les duos d’amours célèbres, on découvre le « parfum de l’histoire » à l’époque où les compositeurs doivent contourner la censure pour glisser des allusions politiques ou sociales pimentées ! Jacques Offenbach, animateur de la fête du Second Empire, s’enhardit avec la libéralisation du régime. Sous la IIIème République, les opérettes politiques apparaissent. Le militaire y est essentiel pour aider la France à reconquérir l’Alsace Lorraine, mais disparaît avec la Grande guerre. Les « Mousquetaires au Couvent » rappellent le conflit de l’Église et de l’État mais on découvre aussi des airs pleins de spiritualité. André Messager, révèle les déboires de l’Aristocratie. Vienne passe de la Valse à l’opérette, mais les créations se replient sur Paris après l’écroulement de l’Empire de François Joseph ! L’opérette découvre la France du tourisme naissant, la Méditerranée, Marseille et le Monde.

Gérard Staron, professeur d’histoire, puis agrégé et docteur d’état de géographie a surtout publié dans les domaines de la climatologie après sa thèse « l’hiver dans le Massif central » au catalogue depuis 1993 des publications de l’Université de Saint Etienne. En 2003, il sort « le ciel tomberait–il sur nos têtes » aux éditions Aléas, en 2007 « Conditions climatiques et compétitions cyclistes » aux éditions de l’Harmattan en collaboration avec Jean-Paul Bourgier. En 2013 il participe à l’ouvrage hors-série du Progrès « Quel drôle de temps ». Depuis 2012, il préside l’association des météorologistes d’entre Rhône et Loire et publie chaque mois le Météofil. Avec « l’opérette Parfum de l’histoire » il passe à la passion inspirée par cette musique légère. Il met sa formation d’historien au service de ces œuvres musicales plus intégrées dans leur temps qu’il n’y parait !

Aprés de nombreuses années de service dans la capitale, l’inspecteur Arzélèse Le Guell a demandé sa mutation. Son affectation va le ramener en Bretagne la région de son enfance.
Il vit dans la maison qu’il a hérité de ses parents. Au loin, il aperçoit le phare de Tévennec qui l’angoisse depuis son plus jeune âge.
Que s’est-il passé dans son enfance ? Il n’en a aucun souvenir. Et qui est cet oiseau blanc qui vient lui rendre visite la nuit pendant son sommeil ? Il n’en a aucune idée.
Il pose des questions aux habitants du village, mais personne ne lui répond.
Mais à force de d’acharnement, obstination et d’aveuglement, il va ouvrir une porte secrète et ce qui se trouve derrière va le mettre en grand danger...

L’auteur, Nans Delaire-Gernigon, est née le 24 juin 1949 à Nantes où elle vit toujours.
Elle a commencé à écrire à 66 ans. Elle est membre de L’association des Écrivains Bretons et de la Société des Gens de Lettres.

1970, Marie a de bonnes raisons pour quitter Paris et aller s’isoler dans un petit village des Basses Alpes au cœur du pays de Banon. Sans aucune prédisposition particulière, elle va devenir bergère. Mais elle est belle, Marie, et suscite les convoitises… au point de trouver la mort. L’enquête diligentée par la gendarmerie ne s’annonce pas des plus faciles dans ce village de Haute Provence qui lui oppose un mur de silence.

Martine Bazin née à Marseille, décide en 1975 de fuir la ville pour vivre dans les Alpes de Haute Provence. Région qu’elle connait grâce à de nombreux séjours effectués durant les vacances scolaires. Elle s’installe à Banon puis à Forcalquier qu’elle ne quittera plus aimantée par ces lumineux paysages. Grande lectrice, après avoir diminué ses activités professionnelles, elle se met facilement à l’écriture. Marie la bergère est son premier roman publié.

Hadji, jeune malien de neuf ans, est atteint d’une maladie cardiaque, la Cardiopathie congénitale. Il va être accueilli par Madeleine et Régis, deux jeunes retraités, afin de pouvoir se faire opérer en France de cette maladie inopérable dans son pays d’origine. Au travers de son opération, nous allons découvrir la vie de sa famille d’accueil et comment elle a cheminé vers l’accueil de Hadji chez elle. Madeleine et Régis, en relation avec l’association Les Agents du Cœur, l’ont accompagné jour après jour, depuis un mois et demi, pour subir cette ultime opération qui décidera du sort du jeune malien. Comment va-t-elle se passer ? Comment Régis et Madeleine vont vivre l’attente de l’opération de Hadji ?

Du haut de ses vingt-cinq ans, Ghislain Bazin partage sa vie entre son métier, Gestionnaire Administration des Ventes et sa passion, l’écriture. Osant se lancer dans le grand bain en juillet 2017 avec son premier roman « Sans Domicile Fixe », il a son actif trois autres ouvrages tous parus chez Edilivre en 2018 : un recueil de poèmes « Droit au cœur », un essai littéraire « Sujets d’actualité : pensées ou vérités ? » et son second roman « Adieu, Madame Violence ».

Aymeric Artis, professeur d’histoire et amateur de jeux de stratégie, coule une vie paisible auprès de sa femme et de sa fille.
Mais un accident survient, et tout bascule...
Propulsé à Anaon, il va devoir affronter les plus grands stratèges de l’Histoire dans un tournoi sans pitié, afin d’assurer son avenir et celui des habitants de son secteur, qui ne dépendent que d’une seule chose: qu’il sorte vainqueur de la nouvelle édition du Tournoi des Stratèges !

Docteur en Sciences de l’Univers et musicien, vivant à Nouméa et père de trois enfants, Brice Sevin est fasciné depuis son enfance par la science-fiction mais aussi l’Histoire. C’est donc tout naturellement que son premier roman, « Stratège », tente de concilier les deux.

Des phénomènes étranges arrivent dans la vie de Sam. Chaque jour, elle s’éveille dans un endroit inconnu, dans des lieux différents. Chaque fois, un éclair de lumière l’emporte et la fait sombrer, après avoir vécu des aventures plutôt intrigantes.
Elle va ainsi parcourir différentes villes comme New-York, Leeds, Avignon, Vienne ou encore Tel Aviv.
Effrayée au début, elle se familiarise avec ce qu’elle appelle ces ‘voyages’ et part en quête de la vérité : pourquoi, à chaque réveil, rencontre-t-elle la grande pianiste, Clara Vidaly, névrosée et suicidaire, ainsi que les membres de sa famille ? Pourquoi ressent-elle la souffrance de celle-ci et arrive-t-elle même à prévoir ce qui va arriver ? Qui est ce petit garçon, Marc, pour qui elle éprouve un sentiment d’amour intense et qui paraît vouloir l’aider ? Et pourquoi des voix d’inconnus résonnent-t-elle si fortement dans sa tête à chaque réveil ?
Elle comprend rapidement que son destin est intimement lié à celui de la célèbre pianiste.
Même si Sam se heurte à d’autres phénomènes étranges, elle n’a de cesse de poursuivre sa quête de vérité. C’est en découvrant le lourd secret de Clara Vidaly que sa vie s’illumine enfin et prend un tout autre tournant.

Ghislaine Hochart Riondel, amoureuse de la nature et passionnée de chevaux, écrit ici son premier roman, alors qu’elle navigue entre le Jura et la Charente Maritime.

Zanacou, jadis contrée agricole prospère, est frappée de plein fouet par une sécheresse qui a dégénéré en crise économique majeure. A la recherche de lendemains meilleurs, la jeune Aiyanna et ses proches sont contraints d’émigrer vers une région paradisiaque, visible depuis leur village. Le pays de rêve, situé au sommet d’une montagne, est entouré de mythes. Il est réputé être un endroit inaccessible, une destination sans retour. Les légendes, qui circulent à son sujet, sont de nature à réfréner la convoitise des plus ambitieux et des plus téméraires. La magnificence du lieu ne suscite que méfiance; tout y semble trop beau pour être vrai.
L’aventure, dans laquelle le groupe de voyageurs s’engagera, sera lourde de conséquences. Le contrôle, que la jeune fille croyait exercer sur le destin, se noiera dans un tourbillon d’imprévus, d’incertitudes et de peurs. Elle est loin d’imaginer les innombrables péripéties qui la conduiront à remettre en question la pertinence de ses choix. Sa hardiesse triomphera-t-elle des hostilités et des adversités auxquelles elle sera confrontée?

L’auteur, Irmine Iroko, nous embarque dans le parcours de cette jeune héroïne, chemin jalonné de rencontres brèves, de déceptions et de trahisons.

Dans le ciel, les zébrures dorées et les traînées rougeâtres se disputaient le fond bleu céruléen annonciateur de l’aube.
L’air était transparent, merveilleuse lumière atlantique sur la Lugue à la Pointe du Cap-Ferret.
Ce jour-là , Charles, au milieu d’une atmosphère étrange baignée dans des lumières sublimes, ayant pour seuls repères le sable, l’eau et le ciel, se rappela d’une multitude de détails. Des souvenirs familiaux, parfois douloureux, des rêves nocturnes guidés par l’eau et le minéral du marbre et de la pierre lorsqu’il était à Venise, émergeaient comme les bulles venant éclater à la surface de l’eau entourant désormais son refuge qu’il contemplait.
Comme pétrifié par cette indolence lacustre au milieu des joncs immobiles, il espérait « la progression des lumières » pour résoudre l’énigme contenue dans le testament laissé par Théo, son père, décédé en ces lieux sableux et salins à l’ombre des pins et entourés par les eaux marines, loin des vignes autour de Garrane. Que pouvait bien révéler le lourd secret que Théo partageait avec son vieil ami Léon qu’il devait absolument rencontrer ?

Jean Montegut, jeune retraité, ayant écrit quelques nouvelles, publie son premier roman. Natif de cette Gascogne, il réside sur la Presqu’île du Cap-Ferret depuis plusieurs décennies et se consacre également à la peinture.

La découverte d’un objet insolite lors d’une partie de pêche avec Allan, ami d’étude d’Andrew, s’avérera être le début d’une intrigante aventure.
Andrew et Allan sur la piste du secret des campaniles seront confrontés à des cambrioleurs et devront faire preuve de beaucoup d’astuces pour leur échapper.
Parallèlement à leur expérience, c’est une Venise du XVI° siècle époque où Vénitiens et Ottomans étaient en lutte. Le capitaine Lorenzo et ses hommes auront fort à faire pour déjouer une tentative d’invasion Arabe et sauver le Doge et la Cité.
XVI° et 21ème siècle, deux histoires qui se rejoignent. Aventures, batailles navales, conflits et stratégies se succèdent.

Paul Beccaria vous propose son deuxième roman : Venise-Le secret des campaniles. Une aventure littéraire palpitante, plongeant le lecteur au cœur de la belle cité italienne, de ses mystères et de ses charmes. Une histoire intrigante, pleine de surprises, où aventures, conflits et stratégies se succèdent avec habileté au fil des pages.

Le réchauffement de la planète déclenche la montée des océans. Toute les régions côtières du globe sont évacuées et l’exode des réfugiés climatiques débute. La pollution et la canicule s’ajoutent à l’épuisement des ressources.
Aux Etats-Unis, alors que la Maison Blanche déménage, rattrapée par les inondations, deux « Centrales » sont érigées dans le but de centraliser les dernières ressources :
- Une pour l’ouest,
- Une pour l’est.
Mais, les Centrales recèlent un effrayant secret.
Notre héros sera le premier à découvrir l’effroyable vérité. Il va comprendre que les expériences scientifiques ont abouti à des dégénérescences au cœur des « Centrales » ; Et il va réaliser que la population devient la ressource.
S’en suit un road trip original à la recherche d’un éventuel « ailleurs ».
Il faut trouver « GENESA » même si tout le monde ne doit pas y accéder…

Brigitte MARIE est née en 1963 à Rennes en Bretagne.
Elle vit désormais en Haute-Savoie où elle a élu domicile après avoir beaucoup voyagé, souvent pour des raisons professionnelles. Passionnée de science-fiction et fantastique, elle écrit généralement sur ces thèmes.

Qui n’a jamais fauté ? On a tous des désirs enfouis dans notre imaginaire, certains s’y adonnent. Mona est une femme mariée, mère de famille. Mais elle est malheureuse en couple. Enfin, elle ne sait pas trop... Son mari est le rêve de toute femme en apparence, mais un homme qui la rend malheureuse au quotidien. Et si elle faisait le choix d’être malheureuse ? N’est-elle pas quelque peu responsable ? Lorsque tout va mal, on est tenté d’aller voir ailleurs si l’on peut trouver sa place, si l’on peut être plus heureux, vivre un rêve éveillé. C’est le cas de Mona. Ailleurs, dans les bras de Roger. La tentation est là, le désir aussi, l’action s’en suit. Seulement, l’adultère d’une femme est un tabou dans notre société qui avance à petit pas. Un homme infidèle fait presque sourire, c’est presque normal, mais une femme est méprisable si elle cède au démon de midi. Elle doit le cacher à tout prix, quitte à en devenir folle. Mona est une femme ordinaire, avec une vie ordinaire, des problèmes et des joies ordinaires, mais qui bascule dans un monde qu’elle ne pensait jamais connaître : celui du mensonge. Son rôle de mère lui importe tellement : quel choix va-t-elle faire ?

Annie Lanvers aime manier les mots pour soigner les maux. Passionnée d’écriture depuis sa plus tendre enfance, elle touche à plusieurs genres littéraires et poétiques. La vie l’inspire constamment, ses livres sont une invitation au voyage intérieur.