La taupe et les loups-garous

Parce qu’il a refusé d’exécuter un ordre illégal, Philippe, jeune commissaire de police, doit faire face à un réseau informel de politiciens, de hauts-fonctionnaires français, d’affairistes et de Corses encanaillés avec des tyrans africains. Il les appelle «les loups-garous ». Eux, pour le discréditer, le surnomme «la taupe, l’ennemi infiltré au sein des services régaliens ». Pendant 35 ans, tandis que Philippe cherche son salut dans la force solaire des paysages africains et dans l’empathie avec leurs peuples, renouant ainsi avec les rêves de son enfance, la puissante nébuleuse fait tout pour piéger le policier incorruptible. Lui imposer silence. Et le briser, lui le Don Quichotte généreux mais utopique et désespéré, qui mène un combat solitaire et peut-être mortifère. Sa passion pour les randonnées montagnardes, notamment dans le Bargy et les Aravis de la Haute-Savoie, pourra-t-elle lui éviter la chute et lui apporter la renaissance dans un monde de paix et de sérénité ?
Bref, ce roman n’est pas un polar, il conte le drame d’un policier.

Philippe Legay-Delforge est le nom de plume d’un romancier qui s’est toujours intéressé de près aux questions régaliennes de France et d’Afrique. Son récit, fictif, s’inspire des dérives qui entachèrent parfois l’honneur de la nation en raison de troubles rapports entretenus par certains hommes de pouvoir français de la métropole et de Corse avec des autorités africaines soutenues par des mercenaires et financées par des affairistes dévoyés.