À soixante ans, Viviane vit toujours chez sa mère qui n’a cessé, depuis sa naissance, de la couver et de la protéger contre tout intrus. Au cours de vacances que les deux femmes passent dans une auberge en Bretagne, Viviane disparaît. Toutes les hypothèses sont envisagées : fugue, rapt, ensorcellement... et des suspects rapidement identifiés. Marie et Jacques, deux clients parmi les autres, vont mener une enquête qui permettra d’établir la vérité, au cœur de laquelle la relation mère-fille occupe une place prépondérante.
Situant l’histoire en pleine campagne électorale municipale, l’auteur en profite pour parodier la langue de bois employée par certains candidats, tout comme il caricature les « parlers tendance » de certains des pensionnaires.
De brefs passages dans le récit invitent à (re)découvrir quelques-uns des admirables sites touristiques du sud de la Bretagne.
Jacques-Henri JAYEZ a été professeur d’informatique à l’Université de Nantes, où ses travaux de recherche l’ont amené à publier, entre autres, deux ouvrages sur la Compréhension automatique du langage naturel aux Éditions Masson en 1982 (auteur) et 1986 (coauteur). Avec L’auberge des disparus, il produit le troisième roman des enquêtes de Marie et Jacques, après On ne s’ennuie jamais à Nice et Coup de jeune sous les tropiques parus aux Éditions Spinelle en 2018 et 2019.
Auteur |
Jacques-Henri Jayez |
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Éditeur |
Maison d'édition Spinelle |
Genre |
Roman (Broché 21 x 14,8 x 1,30 cm) |
Nombre de pages |
200 |
Poids |
236 gr |
Date de publication |
16 juillet 2020 |
ISBN |
978-2-37827-298-2 |