En 1970, Elsa, étudiante à Nanterre s’engage pour la défense des droits des femmes après avoir subi le traumatisme d’un avortement. Sylvie, sa cousine, quitte l’école après le brevet, pour travailler dans un hôpital et vivre avec JJ, le chef d’une bande de quartier. Maxime, l’ami d’enfance, le frère, le confident, peine à trouver sa place dans une société qui catégorise les individus.
Tous les trois, connaîtront amour et succès. Mais, la jalousie et la trahison rôdent. La mort aussi, avec son cortège de larmes et de désillusions.
Dans ce quatrième volet de Mémoire de femmes, Mireille Ranise évoque, en toile de fond de ces drames familiaux, une France secouée par les déséquilibres économiques et politiques et par les grands bouleversements sociétaux, tels que la majorité à 18 ans, la dépénalisation de l’avortement, l’abolition de la peine de mort ou l’abrogation du délit d’homosexualité.
Mireille Ranise est née en 1958. Elle vit actuellement en Corse où elle a enseigné, avec bonheur, l’économie et le droit. Diplômée en Sciences Humaines, passionnée par l’histoire, curieuse des gens, elle nous livre ici la quatrième partie de la saga Mémoire de femmes, qui de mère en fille, retrace un siècle d’évolution française.