Comme on s’en doute dés le titre, ce roman est lié au marathon, mais même si le point de départ est précis, ce n’est pas l’histoire d’un marathon.
Poussé, voire sommé par un de ses amis qui, lui, s’ennuie en courant, le narrateur qui, lui, prétend ne jamais s’ennuyer s’efforce de raconter ce à quoi il pense pendant un marathon. Et c’est celui du médoc (pas de date précise mais une période récente) qui sert de trame à son récit..
Même si l’auteur a été réellement accro à la course à pied c’est un roman et non une récit réel, mais globalement plus de la moitié des anecdotes qui sont présentes sont vraies, compilées de courses différentes, ce sont souvent les plus invraisemblables (comme on dit familièrement cela ne s’invente pas)..
L’organisation est donc évidente, au-delà d’un long chapitre qui explique la genèse du projet c’est un récit kilométrique dans lequel le narrateur expose ce qui lui passe par la tète pendant tous ces kilomètres, en liaison bien entendu avec ce qu’il ressent et ce qu’il voit pendant la course.
Pierre Pascal est âgé de 71 ans – eh oui un jeune auteur plein d’avenir, passé d’un certain âge à un âge certain – déclare-t-il avec le sourire.
Agrégé de Géographie, il a enseigné en prépas HEC et a publié quelques ouvrages. Le dernier, en date, est Quarante-deux kilomètres et des poussières... qu’il propose aux lecteurs.
Auteur |
Pierre Pascal |
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Éditeur |
Maison d'édition Spinelle |
Genre |
Roman (Broché 21 x 14,8 x 1,19 cm) |
Nombre de pages |
156 |
Poids |
234 gr |
Date de publication |
27 novembre 2020 |
ISBN |
978-2-37827-345-3 |