Témoignages

Notre eau de tous les jours, du robinet ou en bouteille, filtrée, dynamisée ou osmosée.

Partant du constat alarmant des mauvais traitements que l’on inflige à notre eau au quotidien et des choix restreints qui s’offrent à nous pour satisfaire nos besoins grandissants en eau, cet ouvrage met en exergue et résume les multiples façons d’appréhender notre rapport vital à cette ressource naturelle de premier ordre, que nous avons pourtant tendance à négliger.
Face à l’influence de plus en plus pressante de notre société de consommation de masse, comment traiter la question de l’eau dans notre vie de tous les jours, en commençant par notre eau de boisson ? Quelle est la plus convenable pour chacun de nous et pour notre environnement ? L’eau du robinet ou en bouteille ? Filtrée, osmosée, dynamisée, hydrogénée, quelles sont les différentes eaux qui sont à notre portée et quelle est la meilleure pour le plus grand nombre ?
L’eau que l’on maltraite est un enjeu planétaire, qui passe par notre nécessaire prise de conscience et l’éducation de nos enfants à mieux la considérer par l’émerveillement et le respect, que l’ont doit à cette matière unique et mystérieuse, qui n’a pas encore révélé tous ses secrets. Autant d’interrogations auxquelles l’auteur a tenté ici d’apporter non pas des réponses à prendre au pied de la lettre, mais un regard qui se veut éclairant et bienveillant, sur notre plus grande source de vie sur Terre, l’eau !

René Poulin, auteur écrivain, poète et essayiste, signe cette étude.

Le texte aborde un sujet où l’omerta semble être de rigueur. C’est celui de la prostitution tant civile que militaire, à travers ce que décrivent les auteurs de ce récit comme étant les BMC (Bordel Militaire de Campagne).
La prostitution est-elle une profession comme une autre ou une forme d’exploitation des femmes ? Une simple activité génératrice de revenus ou une expression de violence à l’égard des femmes ? Un métier librement choisi ou une contrainte imposée ?...
En évoquant cette problématique, Michel et Anette Villand ont voulu mettre l’accent sur certaines pratiques toujours en cours dans un milieu où le silence paraît de mise.

Avec Les roses oubliées, Michel et Anette Villand signent leur première publication aux Éditions Spinelle.

Ce roman est une saga familiale, qui a été réalisée à partir d’un journal écrit par Laura, ma mère.
Elle découvrira qu’elle est atteinte de la maladie d’Alzheimer.
Passionnée par l’écriture, elle finira d’écrire son histoire sur des petits bouts de papier. Certains papiers étaient numérotés, sur d’autres, seules des dates figuraient.
Dans ses moments de lucidité, elle relate les diverses périodes de sa vie : Joies, déceptions, angoisses. Elle dépeint avec passion le patrimoine historique des diverses régions de France à travers la chevauchée de ses voyages.
Vous découvrirez des paroles et des expressions enfantines de ses enfants et petits-enfants qui vous feront sourire.
Une intrigue familiale suivie d’un drame auquel Laura et son mari ont dû faire face. Toute une vie de souvenirs. Un vrai puzzle, que j’ai réussi à reconstituer avec l’aide de mon frère et nos enfants. Maryse C. Aleix

Avec Laura - Le miroir de sa vie l’autrice Maryse Chaintreau Aleix signe sa première publication.

« Jusque vers un point assez avancé des temps modernes, l’art, poésie et musique surtout, n’a eu pour but que d’enchanter l’esprit en lui présentant des tableaux de béatitude, faisant contraste avec l’horrible vie de contention et de lutte dans laquelle nous sommes plongés. »
Charles Baudelaire, Sur mes contemporains : Théodore de Banville, Revue fantaisiste, 1er août 1861.
En 1843, Le mauvais moine veut embellir les murailles de son « cloître odieux », le « jeune cercueil » de Paysage parisien pour se charmer veut composer ses « églogues » entre les murs de sa mansarde. Mais, comme Sur Le Tasse en prison de 1844, « que le Possible enferme » entre les murs de son cachot, comme L’albatros sur les planches du navire, ces rêveurs d’azur sont impuissants à réaliser leur désir de voiler le Réel, de « voir la vie en beau ». Après la Révolution de 1848 et le coup d’État du 2 décembre 1851, Baudelaire renonce définitivement aux fééries des « tableaux de béatitude » et dans Les Fleurs du mal peindra les « terreurs du gouffre ».
Cet essai commente cinq poèmes des Fleurs du mal qui cernent le lieu de parole du poète. On étudie ensuite Morale du joujou de 1853 et six petits poèmes en prose du Spleen de Paris, tous parus après 1861. L’auteur se propose d’analyser les mises en intrigue que Charles Baudelaire présente de sa conversion de l’art-joie à la BEAUTÉ-MALHEUR, de son voyage des fleurs enchanteresses aux fleurs maladives, des fleurs au MAL, long périple qui l’exile de la « blancheur du joli château » du Joujou du pauvre, « auquel il reste attaché pour toujours, peut-être. »

Georges Sturm a enseigné en France et à l’étranger. Traducteur de romans policiers historiques allemands et de philosophie, il a aussi publié sur Fritz Lang et Eugène Delacroix.

La langue charpente. Les discours bien sûr, les histoires et les corps. Et certains mots qui la composent comptent plus que d’autres. Parce qu’ils sonnent de façon singulière, parce que leur sens questionne, qu’ils ont à faire avec la poésie ou l’ordinaire tout simplement. Des mots croisés, par hasard quelquefois, rencontrés toujours, et choisis pour être les plus sûrs. Ceux qui accompagnent, en secret et au fil des paroles, qui rassurent dans les peurs ou les silences.
J’ai les miens. Les mots-porteurs de mon petit édifice symbolique, cet invisible bâti sous lequel je m’abrite quand les temps sont périlleux et où simplement je passe le cours de mes jours.
Les échos de ces mots me sont précieux, au creux desquels en effet je me tiens, tous ceux-là qui couvent aussi mes lignes d’écriture.

Cécile Lebaron travaille comme éducatrice en région parisienne. Les mots-porteurs est son quatrième ouvrage.

Vivre, vivre heureux ! Tel est le but et le combat de Maxime depuis l’âge de ses deux ans.
Ce témoignage poignant d’une maman commence par l’annonce impensable d’un cancer chez son bébé. Elle raconte la force de vie de Maxime, ses bonheurs, son courage, face aux multiples interventions chirurgicales, traitements par chimiothérapie, radiothérapie, immunothérapie, essais clinique, recherche de médecine alternative quand il n’existe plus de traitement. Mais également la lassitude de Maxime, sa fatigue au collège puis au lycée et le découragement qui l’envahit.
Sa philosophie de vivre le moment présent, son courage et sa force à vaincre la maladie sont présents tout au long de sa vie et ont fait l’admiration de tous, des médecins, des enseignants et de l’infirmière de son lycée devenue sa confidente.
Un exemple de résilience et de positivité qui ne le quittera jamais.
L’amour de sa famille lui a permis de traverser les épreuves les plus difficiles. Maxime voulait juste vivre.
Il nous laisse à tous une belle leçon de vie qui nous porte chaque jour, son étoile brille avec intensité dans le ciel.

Olivia Natter est née en Alsace et vit en Provence depuis 32 ans avec son mari et ses enfants. C’est à l’âge de deux ans qu’une tumeur cérébrale a été détectée chez son fils Maxime, elle a tenu un journal de bord pendant plus de seize années, depuis la première hospitalisation de son fils. Elle a rédigé ce livre afin d’honorer sa mémoire et son courage.