Romans

L’adage est bien connu, chacun a son jardin secret. Cependant, il ne dit jamais comment est ce jardin. Verdoyant ? Fleuri ? En friche ? Sombre peut-être… En tout cas, certaines parties de notre jardin secret ne seraient pas bonnes à faire visiter. Tristesse, Solitude, Remords, peurs, angoisses, honte, haine. Peur de vieillir, de mourir, du ridicule. Envie d’humilier l’Autre, envie de le tuer… Des sentiments que nous cachons au plus profond de nous-mêmes.
Évidemment, autant de fardeaux inavouables que nous puissions porter, de haine que nous puissions avoir, de noirs desseins que nous puissions nourrir, nous ne passerons jamais à l’acte. La plupart d’entre nous n’y passera jamais. Il reste quand même ce sombre et beau jardin qui est le nôtre.
Parfois, il fait même sourire.

Bernadette Boissié-Dubus, écrivaine occitane, ex- correspondante de presse, partage sa passion de l’aventure, du mystère, de l’histoire de son pays l’Occitanie et du monde entier en conduisant le lecteur sur des routes sinueuses qu’elle pave de ses mots depuis 27 ans. Auteure de 21 ouvrages : romans policiers, thrillers, romans fantastiques et historiques, recueils de nouvelles et de poèmes. Présidente d’une association d’écrivains, elle anime des ateliers d‘écriture depuis 15 ans.

Sylvain a 36 ans. Cela fait aujourd’hui 7 ans qu’il vit dans les rues de Marseille. Après la perte de son chien, Oscar, il lutte pour ne pas sombrer dans la folie. Il décide donc de partager sa vie à travers un dictaphone et un cahier afin de conter à son fidèle ami ce qui se passe en son absence. C’est alors qu’un évènement inattendu se produit et bouleverse sa vie.
Par l’intermédiaire de Sylvain, nous découvrons tous les vices que nous vivons au quotidien. La vision de l’argent, l’amour, la tromperie, le jugement des autres, la mort... Tout ce qui pousse l’être humain dans ses retranchements. Aussi, le monde des rêves et la réalité se font face sans discontinue, livrant une confrontation énigmatique et émouvante.
«Rêvalité» nécessitera une lecture toute particulière afin de déceler votre vérité... Cet ouvrage se révèle être une satire sociale sur nos comportements respectifs qui touchera votre cœur.
« Les plus grands exploits de notre monde ont d’abord été des rêves. Croyez en vous. »

Joey Coulon, âgé de 25 ans, est originaire de la Touraine. Après avoir vécu à Tours et Bayonne puis travaillé en Espagne, il vit six mois à Marseille, une ville qui ne le laisse pas indifférent. Inspirante et unique, elle lui donne l’envie d’écrire un roman qui se déroule au cœur de ses rues. Comment partager ses valeurs, émouvoir un large public, sensibiliser et essayer de changer les opinions ? « Rêvalité » nait alors dans son esprit. Une satire sociale qui met en avant les défauts de l’Homme tout en essayant d’inciter à la réflexion. De nature réservée et sensible, l’auteur délivre par l’intermédiaire de ce récit des messages forts qui peuvent sûrement en inspirer plus d’un.

Alors qu’à la fin du XXème siècle, la petite commune de Clocherousse vivait paisiblement et sereinement, de nouveaux habitants sont venus s’y installer.
Parmi eux, Louchard et Ruinet se sont fait élire à la tête de la municipalité. Imposteurs diaboliques assoiffés de pouvoir, d’autorité et de prestige, ils font main basse sur la commune pour y établir une hégémonie révoltante.
Dorsan, enfant du pays, et Noroit, propriétaire du château de Beauvallon et d’un haras, sont les premiers à se rendre compte de leur supercherie.
Il va s’en suivre une lutte sans merci alimentée par la chronique quotidienne des faits divers et des querelles de villages pittoresques et truculentes, parfois même extravagantes.
Satyre humoristique mais souvent très près des réalités, des élus, de l’autorité préfectorale et des magistrats, en un mot, du système dans lequel les petites communes essayent de survivre, le lecteur va se sentir forcément en résonance avec la crise politique et sociale actuelle.

Jean Vincent De La Roche Taillée, natif du Bourbonnais, économiste, spécialiste de la comptabilité nationale, retraité de la fonction publique, vit désormais une autre vie consacrée à la cause publique, aux voyages et à l’écriture. Après s’être épris de poésie, il a écrit plusieurs nouvelles et publie ici son premier roman.

Le Vicomte de Panissac, un être dominateur, à qui le meunier de Lestignac et sa femme refusaient de vendre leur moulin, a cherché par les moyens les plus vils à se l’accaparer.
Pendant la Révolution de 1848, il mit au point un stratagème pour faire arrêter et jeter en prison le Maître des lieux.
Le narrateur, le fils de cette modeste famille de meuniers Périgordins, après avoir fait libérer son père, suite à un parcours rocambolesque, l’invite à le suivre sur les chemins de sa vie tumultueuse faite de rebondissements inattendus, en traversant les événements historiques qui ont bouleversé tout le XIXème siècle.

Retraité du service audiovisuel de la Poste où il a exercé pendant 26 ans comme concepteur-réalisateur de films, chef opérateur, photographe et compositeur de musique, Jean-Jacques Besse, Périgordin de naissance, amoureux de sa région, de ses traditions et fier de ses racines, s’adonne à la peinture et à l’écriture. Son rêve : qu’une adaptation cinématographique de son roman soit réalisée.

«Depuis quelques temps et à la demande de maman, je raconte dans un journal tout ce qui se passe dans ma vie, que ce soit à la maison, de mon entrée et de ma vie au collège, de Sellome sur Nehun, mon village perdu à la campagne, de mes différences, de mon chien. Je parle aussi de Justin, mon meilleur ami, de maman, de toute la famille, de la disparition de papa qui n’était pas souvent à la maison mais surtout de la rencontre avec Billy. Une personne étrange qui a changé ma vie et qui m’emmène dans des aventures loin de chez moi mais que personne d’autre que moi n’a jamais vu ni entendu parler...»

Manuel Guebilli, né en 1978, marié, père de trois enfants, vit à la campagne, loin de la ville. Il écrit depuis son plus jeune âge des romans et poèmes qu’il a décidé de faire publier afin de faire partager sa passion et essayer de vivre de sa plume.

Samira, enseignante à Paris, vient d’obtenir son détachement à l’École Française de Riyad où elle s’installe avec sa fille Ericka. Olivier, Normand d’origine, est directeur de l’Hôtel Pyramide de Riyad appartenant à un groupe dont il a dirigé déjà plusieurs établissements en Afrique et en Europe. Leurs chemins vont se croiser dans un pays qui vit en noir et blanc où les femmes, cachées sous leurs abayas sombres, sont traitées comme des humains de second ordre, et où les hommes, drapés dans leurs tuniques blanches, dépendent d’une économie droguée aux pétrodollars qui leur a fait perdre la notion du travail.
Un compte à rebours haletant va s’engager.
Inspiré de faits réels, ce roman nous plonge dans les contradictions de l’Arabie Saoudite dont les pétrodollars attirent les occidentaux comme la lumière attire les papillons, quitte à ce qu’ils se brûlent les ailes aux ardeurs de la charia, du wahhabisme et d’une monarchie autocratique.

Jean-Paul Tourvieille court dans les couloirs des ministères, de l’assemblée nationale et du Sénat mais sa préférence va aux chemins de la forêt de la Braconne et des bois Charentais. Et quand il court, son esprit vagabonde. Résultat : il écrit !

Une petite cité bourguignonne à la fin des Trente Glorieuses. La vie s’y déroule paisiblement, à l’image de milliers d’autres. L’austère Bar des sports rassemble, le dimanche, notables et ouvriers, retraités et actifs, et les conversations résument tout ce qui se dit et se pense alentour. La pauvreté est cependant toujours là, poussant ses victimes loin des règles morales de la bonne société. L’irréligion s’y épanouit aussi, désolant les deux prêtres affamés que leur hiérarchie abandonne. Un soir de fin d’été, un incendie fait rage, puis trois autres suivent, mettant fin à la nonchalance de la petite cité qui se croyait protégée de tels délits. L’atrabilaire adjudant a beau enquêter, aucun suspect ne peut être confondu. Le mystère règne parmi une population incrédule et inquiète. Deux personnes, cependant, savent chacun un morceau de la vérité, et il suffira que le hasard les rassemble pour que le futur de la cité et de quelques habitants en soit bouleversé pour longtemps...

Roman du terroir écrit par Jean Leclercq qui, avec Retour de flammes, publie son second ouvrage. Retraité dans le Vaucluse, il a collaboré avec divers journaux parisiens, parmi lesquels Le Matin de Paris, Le Nouvel Observateur et Challenges.

Quatre histoires courtes plus différentes les unes que les autres : une romance moderne, un conte écolo-initiatique, un conte pour enfants intelligents et un polar historique, qui se dégustent comme une assiette d’antipasti.
Modern Love : un coup de foudre entre deux personnes que tout oppose. L’amour sera-t-il plus fort que la différence ?
Le présent de la lune : La lune a envoyé un bien drôle de présent à une tribu d’indiens d’Amérique du Nord... A moins que ce ne soit un cadeau empoisonné. (D’après une histoire vraie).
A l’école des vampires : Je m’appelle Emile et j’ai bientôt 6 ans ! Je dois vivre avec mon grand frère dans une cave pour m’entraîner à devenir un vampire.
Le croustilleur de Versailles : 1661, Versailles. Un meurtre atroce vient d’être commis. Le sieur Touquet, commandant des escouades de la Maréchaussée du Roy mène l’enquête.
Quatre histoires pressées à l’attention de ceux qui n’ont jamais le temps de lire...

Alice Masson est chroniqueuse littéraire pour un média numérique. Après avoir remporté plusieurs prix littéraires chez Grasset et au Cherche Midi (pour le concours des Abeilles de Guerlain), elle se lance dans l’écriture de nouvelles. Elle rêve de lire un livre par jour comme Bernard Pivot ! Quand elle n’écrit pas ou ne lit pas, elle prend soin de son chien et de ses deux chats et de ses deux enfants à Marseille où elle vit au soleil.
Modern Love est son premier recueil de nouvelles.

Littérature active : un roman d’actualités avec une part d’enquête sur les ronds-points entre Nîmes et Toulouse et une part d’essais.
Essais : Avec l’aimable participation d’économistes, d’urbanistes et d’une sociologue.
Le détective De Brénac, a réussi à mettre la main sur le dossier « Algorithmes identitaires » expliquant, démonstration à l’appui, l’importance de la suppression de l’additif : Le Pen, à l’identité de Marion Maréchal.
Il quitte Paris pour le sud. Entre Nîmes et Toulouse, de ronds-points en salles de réunion, équipé de son discret enregistreur, ils s’entretient avec les gilets jaunes, des plus cool aux plus déterminés.
Ouvriers, agriculteurs, enseignants, artisans, économistes, étudiants, policiers, sociologues, urbanistes sont de la partie. Ce petit livre, bien documenté, (nombreux chiffres à l’appui- parfois inattendus- véritable Bible pour les Gilets jaunes), propose d’explorer de nouvelles pistes pour : l’écologie, le logement, l’immigration et la fiscalité.
L’histoire se répète et s’adapte à son époque :
« Mais c’est une révolte ?
Non Président, c’est une révolution ».

L’auteur, Algo de Carlencas, est ingénieur de formation, passionné de littérature active. Il doit son surnom à ses collègues de travail car, bien souvent, pour résoudre un problème, il propose de faire appel aux algorithmes.

Dans cet ouvrage, l’auteur fait revivre des figures emblématiques de sa région, le Périgord, et prend la plume pour vous faire partager son univers entre fantastique et ésotérisme.
Inspirés du personnage d’un sorcier ayant vécu au début du XXème siècle dans la forêt de Domme, dans le Périgord Noir, le premier de ces quatre récits tissés sur trame d’enquêtes, raconte les aventures du « Sorcier de Domme ». Les trois suivants « La grotte oubliée » « La grande vague » « et La nuit de la Dame Blanche » relatent les aventures de son descendant. Il nous entraine au fil des pages vers une intrigue palpitante dans laquelle le héros, surnommé Le Hibou, se lance tantôt sur les traces de mystères à élucider, ou encore sur celles d’un criminel peu conventionnel qui le conduira du cœur de vieux Sarlat au plus haut des tours du château de Puymartin. Les traits des personnages sont nourris de plusieurs figures de l’occultisme ou encore de l’écrivain François Augiéras qui vécut également à Domme dans les années soixante.

Serge Lapouge est paysagiste de formation. Il est également spécialisé dans l’écriture d’ouvrages traitant des constructions au jardin et dans la photographie pour des ouvrages traitant du jardinage au naturel.

Marie et André sont âgés, très âgés, mais en bonne condition. Ils sont mariés depuis si longtemps qu’ils ne comptent plus et cela n’a plus vraiment d’importance.
Marie et André ont toujours vécu dans ce village du Val de Loire. Vécu, travaillé et ils y eurent leurs deux filles.
Marie et André coulent des jours paisibles et ne sacrifient jamais à leur très précieuse habitude de venir, durant une heure en fin d’après-midi, s’asseoir sur le petit banc de la place du village.
Aujourd’hui, en ce bel été, ils sont bien assis, l’un à côté de l’autre, sans se toucher, comme à l’accoutumée.
La conversation sera longue à venir. André la débutera, mais avancera à petits pas, masquant son réel propos, par méfiance.
Mais ce qui suivra modifiera à jamais leur rapport.
Pourquoi, tout à coup, André va-t-il transformer le cours serein de leur vie ? Pourquoi s’est-il mis en tête de poser LA question ? Quel événement a bien pu le pousser à poser cette question ? Est-il devenu fou ?
Et Marie ? Comment va-t-elle réagir ? Comment va-t-elle gérer le comportement de son mari ? Comment va-t-elle se dépêtrer de cette situation qui semble inextricable ? André pose La Question. Marie répondra-t-elle ?
Une question ? Une réponse ?

Brève présentation de l’auteur, Hervé Gransart, qui se définit ainsi : J’ai parfois l’impression de ressembler aux chats. Pas au point d’avoir eu 7 ou 9 vies (selon les croyances), mais déjà 5, ce qui n’est pas si mal ! Mais c’est bien la dernière de ces vies qui me passionne et me motive. Celle d’auteur.
Ceci est le 4e opus, mais le premier roman. D’autres sont en gestation, des pièces de théâtre aussi… Écrire, c’est à ce moment-là que je me sens mieux.

Des fragments d’une adolescence imbibée d’alcool. Quand on a seize ans et qu’on se biture la gueule au quotidien - jours fériés et dimanches compris - on peut s’attendre à avoir quelques problèmes. Une jeunesse imbibée d’alcool comme l’est un baba au rhum. De ces épisodes ressort beaucoup de noirceur, de désespoir, mais parmi les nuages noirs perce l’espoir.

Jeune auteure de 22 ans ayant déserté l’Université de philosophie, sans pour autant en oublier la philosophie qui a une place très importante dans sa vie.
Ayant enchaîné des petits boulots de serveuse, elle décide un jour d’arrêter de travailler pour se consacrer pleinement à l’écriture et la réalisation audiovisuelle.