Romans

Une famille française vivant aux États-Unis, sur la petite île de Sapelo, près de Savannah en Géorgie. Tout pourrait laisser croire au bonheur, mais le jour de ses 16 ans, leur fille unique disparaît juste après la petite fête organisée pour célébrer son anniversaire. Que s’est-il donc passé ce soir là ? Un enlèvement ? Une fugue ? Une disparition mystérieuse ?
C’est un jeune inspecteur, lui-même d’origine française qui va trouver une partie du secret, mais combien d’années faudra-t-il pour que toute la vérité soit faite sur cette sombre histoire ?
Entre la cruauté, l’amour trouvé fortuitement, les personnages de ce roman vont subir le contrecoup de cette affaire, qui comme tout enlèvement fera souffrir beaucoup de familles, unies ou pas dans ce drame.

Audree Mevellec n’en est pas à son premier roman. Ils sont tous de différents styles. Elle aime le suspense, les histoires romanesques, et elle y met un certain charme à l’Américaine. De nationalité américaine, vivant entre le Texas et la Californie, elle aime se ressourcer dans sa maison natale de Juan les Pins. Que rêver de mieux qu’une retraite paisible, entourée des personnages de ses romans ?... Entre la plage et les voyages, il y a de quoi alimenter son imagination et vous en faire profiter.

L'incroyable voyage d'un violon Gagliano

Leonardo GAGLIANO, jeune luthier et brillant violoniste de Naples, ignore en ce début du 18° siècle que son premier violon, fabriqué de ses mains, le conduira vers le Sud de la Sicile, à TERRANOVA, au Palais du prince PIGNATELLI, vice roi de Sicile dont il sera le Maitre de chapelle. A sa mort, son violon se transmettra de père en fils durant trois siècles, traversera trois continents et constituera le lien de ses descendants avec la musique.
Ce livre retrace l’histoire de quatre familles siciliennes, les GAGLIANO, les BONGIORNO, les PRINZIVALLI et les SPINELLA, qui, du 17° au 19° siècle, ont connu en Sicile l’époque des Habsbourg, la monarchie des Bourbons, l’époque napoléonienne, l’épopée garibaldienne et l’unité italienne, avant de connaitre l’exil. Ils étaient royalistes, carbonari, aristocrates ou paysans.
Au 19° siècle ils s’expatrient pour les Etats Unis, le Maghreb puis l’Europe. Les uns, opposants au régime ou déserteurs, fuient la prison ou la conscription. Les autres, écrasés par la misère ou terrorisés par la Mafia, s’enfuient, souvent en barque, pour échapper au pire. Ils connaitront la vie dans le Maghreb sous protectorat français, les deux guerres mondiales, l’indépendance de la Tunisie avec l’arrivée de Bourguiba et ils prendront encore, au 20° siècle, la route de l’exil, les uns pour la France, les autres pour l’Italie. Les quatre familles formeront au cours du temps une seule lignée projetée sur différents continents.
Ainsi se construit le chemin de l’exil. La mémoire familiale se transmet au cours des générations dans des ailleurs inconnus, trainant derrière elle des liens invisibles, des liens de sang qui disparaissent puis réapparaissent pour reprendrele fil interrompu de l’histoire dont les enfants, ces fruits de l’exil, deviennent tour à tour les passeurs.

Eliane Keramidas, avocate pénaliste à Marseille depuis quarante ans, a déjà écrit Comment faites-vous pour les défendre édité par les Editions Anne Carrière et L’affaire Eva édité par les Editions Autres temps. D’origine italienne, elle a reconstitué l’histoire de sa famille sicilienne sur trois siècles en utilisant des éléments biographiques et historiques au cours d’une longue enquête effectuée sur les lieux de l’histoire.

C’est le récit de deux femmes qui recherchent à la fois l’amour et la liberté, chacune dans son propre contexte, mais le paysage pittoresque demeure le même. La fille Laziza se démène dans les tourments d’un amour pur et le diktat d’une idéologie obsessionnelle et aveugle. Ses cauchemars ou ses prémonitions sont présents dans son château des « amours. »
La seconde femme, surnommée par mépris « elle », vivote dans la destinée d’une vieille fille, laide de surcroît, qui mesure sa souffrance sur l’échelle de la cruauté des humains et l’indifférence des dieux. Un Français juif vient subitement déranger son cours de vie, mais pourra-t-il s’unir avec une musulmane en détresse ?

Abdelkader Raho est un cadre technique et formateur en ressources humaines. Il a passé sa vie dans les confins du Sud algérien et où il a vécu autant de cauchemars que de joies. Aujourd’hui, à la retraite, il cultive sa passion pour la littérature et l’écriture. Voix de femme est son premier roman.

Baptiste De Laborde, 27 ans, est un consultant ordinaire. Mais son travail dans le tertiaire ne le satisfait qu’à moitié. Lorsque sa fiancée le quitte car il a tendance à se tourner vers l’alcool en cas de coups durs, il se recentre sur son travail. Mais trop de travail le fatigue. Un jour, un collègue lui propose de la cocaïne pour accentuer sa performance. Sans le savoir, il plonge dedans : du mouton sociétal, il devient loup libertaire, libertarien, libertin et finira quasiment seul. Quasiment ? Peut-être pas. Une femme du nom d’Hélène, ange parmi les femmes, vient redonner vie dans ce corps si triste. Mais tout addict le sait, il faut faire des choix. Ici-bas, lorsque l’on veut prendre la poudre d’escampette, y a-t-il des choix meilleurs que d’autres ?

Sidney Mompezat est un jeune auteur de vingt-huit ans passionné de littérature et de musique classique. Féru de romantisme, ses écrits comme ses compositions sont une ode à la vie. Enfant, il avait pour leitmotiv cette phrase de son grand-père paternel : « elle est pas belle la vie ? »

Alice vit dans le malheur et la désillusion depuis si longtemps qu’elle ne sait plus vivre autrement. Le chagrin, le chaos, la rancune, la haine, la peur, l’angoisse… tous ces sentiments sont profondément ancrés en elle. Alice a beaucoup de rêves, mais sait pertinemment qu’elle ne pourra jamais les réaliser.
Comment l’habitude s’immisce-t-elle si vite en nous ? Comment sortir de cette résignation cruelle et nocive qui nous broie de l’intérieur ? Alice n’en sait rien. C’est sa vie, voilà tout.
Mais tout semble basculer un soir d’hiver, sur un petit muret de Berlin, quand un jeune garçon à la philosophie bien à lui fait la rencontre de la belle Alice. Mais comment trouver sa place dans un monde qui paraît nous répéter qu’on n’a rien à y faire ? Alice saura-t-elle vivre, après n’avoir fait que survivre ?

Lyana Dijoux est née dans la banlieue parisienne en janvier 2002. Faire glisser la plume sur la feuille a été, pendant une longue période de sa vie, le moyen « d’encrer » ses maux, et d’ancrer ses mots, quelque part. Elle se sert, encore aujourd’hui, de ce biais, pour imaginer et partager ses propres histoires.

Alexandre en avait rêvé depuis longtemps et son rêve était devenu réalité devant ses yeux émerveillés, semblant inaccessible sous sa couronne de nuages, se dressait le Roraima Nô Kapo le piasan de la tribu des Pémons, le ressentait au plus profond de lui et les esprits de la montagne lui avaient confirmé, abandonnée de tous, la femme du soleil avait beaucoup pleuré depuis la dernière lune et en dépit de ses prières et incantations, rien ne semblait calmer son chagrin. Il en connaissait la raison, trop d’étrangers venaient souiller la terre sacrée et déranger les esprits, ses légitimes occupants depuis la nuit des temps. Le malheur rodait sur le mont sacré. L’esprit perturbé de Rita en serait l’instrument et la malédiction se perpétuerait jusqu’à l’inéluctable.

Né à Brest au hasard des voyages de ses parents artistes lyriques, Laurent Rainaud a vécu son adolescence en région parisienne. Marié et père de deux enfants, il habite maintenant sur la côte d’azur. Tout au long de ses études et d’une carrière de cadre supérieur dans une firme américaine, il consacre son temps libre à son hobby préféré, l’écriture. Au moment de sa retraite, écrire devient sa principale occupation.

La jeune Elizabeth Keller, star des réseaux sociaux (cent soixante-cinq millions de followers) accepte de participer à une expérience extraordinaire afin de créer le buzz. Être envoyée dans le futur proche et, telle une Belle aux Bois dormant 2.0, se réveiller après cinq ans de sommeil dans un module de cryogénisation. Mais, rien ne se passe évidemment comme prévu. Quand Elizabeth sort de sa coquille, cent ans se sont passés. Le monde a changé. Après une succession de cataclysmes, qui ont fait disparaître une partie des terres habitées, les tensions sont explosives aux Etats-Unis confrontés à un phénomène religieux et à une organisation mystérieuse.
Dans ce labyrinthe incompréhensible pour elle, Elizabeth peut compter sur l’aide d’une jeune femme qui la guide et la protège. Mais pourquoi ?

Stanley Berenboom travaille dans la communication à Bruxelles et écrit depuis plusieurs années (plusieurs de ses nouvelles ont été publiées en revues et il anime un site connu des cinéphiles belges, Cinestan.be).

Sa vie lui parut en tout point lamentable. Comment cette idée avait-elle germé dans son esprit qui consistait à nourrir une croyance sublimée à l’égard de la mort ? En définitive, Philippe était bien loin du compte. Son terminus était à l’image de son existence désordonnée. Pourquoi nier encore la terreur qui le terrassait ? Que lui importait de paraître fort quand cette force n’était plus qu’un piètre rempart derrière lequel son ombre même ne réussissait plus à se dissimuler ? Quelle révolte continuait-il à fomenter contre lui-même ? Pourquoi n’avait-il toujours pas appris à s’aimer ?

Thierry Charton signe ici son troisième roman, une méditation philosophique sur notre capacité à aimer la vie au moment même où nous sommes conduits à la quitter.

« Je m’appelle Franck Cartier. Écrivain reconnu, mari aimé, père adoré, ami apprécié. Ma vie est alimentée par les joies et les rebondissements, je pose des mots sur des feuilles, j’éclate de rire, je regarde grandir mes deux filles, j’admire la beauté de ma femme, rien ne semble entacher le bonheur du temps qui passe, à mes yeux.
Rien, sauf la mort.
Rien, sauf la fin.
Enfin, pas véritablement la fin.
Une fois mes paupières closes, j’ai attendu que mon âme quitte mon corps comme cela devait normalement se passer.
Mais la mort n’est pas normale.
Je m’appelle Franck Cartier, et je suis mort.
Je suis mort, et j’entends tout. »

Jonas Guinard-Clauzel est né le 21 octobre 1992 à La Tronche, en Isère. C’est pendant son enfance et son adolescence passées dans le Vercors, qu’il a commencé à écrire des textes, des chansons et des nouvelles. L’écriture lui a toujours procuré une sensation d’apaisement. Ayant souvent changé de métiers, d’avis, d’humeur, de lieux de vie, l’écriture, elle, est toujours restée, confie-t-il. Elle est devenue une nécessité.

D’illustres figures apparaissent dans l’histoire ici contée, ainsi que des personnages d’une notoriété plus locale. Se joignent à ceux-là d’autres protagonistes qui doivent leur existence à la seule imagination du romancier. Les uns et les autres évoluent en diverses époques ; en toute fin du XXème siècle pour les principaux intervenants dont les exploits se déroulent en des contrées lointaines propices aux aventures exotiques, mais aussi en France et plus particulièrement en Normandie, province chère à l’auteur. Vive l’Histoire ! Et bien du plaisir à ceux qui s’en amusent !

Guy Philipps a vu le jour en Cotentin, au printemps de l’An 40. Ecrivain tardif, il consacre une large part de son temps au plaisir de l’écriture. Auteur de fables, de pièces de théâtre, de nouvelles et de romans, il a récemment publié « Paroles dans l’air » (150 chansons), chez le même éditeur.

C’est le récit fictif d’une rencontre entre deux jeunes hommes. L’un est de bonne famille, intellectuel aux tendances suicidaires. L’autre, issu d’une famille plus modeste, est plus intéressé par la réussite sociale que par ses études. Il aime jouir des plaisirs de la vie. Une question se pose pour l’un et pour l’autre. Pourquoi vouloir quitter ce monde ?
Et pourquoi vouloir y vivre ? C’est le début d’une amitié atypique. Un évènement tragique va les pousser à s’entraider. Accompagnés de leurs amis, ils devront surmonter cette épreuve et s’engager dans un parcours semé d’embûches. Y arriveront-ils sans accrocs ?

Gilbert Grosse est né en Côte d’Ivoire pendant la coopération franco-africaine. Il est le fils d’un expatrié français d’origine allemande et d’une mère sénégalaise. Il a mené une vie rythmée par les voyages le poussant à voir le monde sans frontières. C’est sa plus grande richesse, déclare-t-il, ainsi que l’éducation que lui a inculquée sa mère.

Irène d’Arsonville, une jeune fille à forte personnalité d’une respectable famille de la petite ville de Remiremont est venue à Paris pour poursuivre ses études.
Nguyen est un jeune et brillant journaliste d’origine vietnamienne. Il avait 5 ans quand il fut adopté par un couple de Français ayant vécu à Hanoi dans les années 1940. Ayant grandi à Paris dans un milieu intellectuel, Nguyen est devenu féru de la culture occidentale plus particulièrement dans le domaine de l’art tout en possédant de vastes connaissances sur l’histoire de son pays natal.
La jeune fille vosgienne, séduite par la personnalité attachante de Nguyen, s’est rapidement éprise de ce journaliste venu d’un pays lointain et inconnu pour elle. Avec une bourse de la Fondation Rockefeller, elle part aux Etats-Unis. Là, à Tanglewood, au Centre musical de l’Orchestre symphonique de Boston, elle rencontre Sr Dorothy Sullivan, une religieuse au destin hors du commun. Les actions dans ce roman n’ont pas un cadre géographique fixe. Le lecteur a l’impression de se promener dans l’univers des différents personnages, tantôt dans la petite ville de Remiremont, tantôt à Paris, au Vietnam, aux Etats-Unis ou en Afrique. Une banale histoire d’amour ? – Non, plus exactement une réflexion sur les caprices de la vie et le mystère des destins des êtres humains.

Chercheur retraité. L’auteur a eu un jour envie d’écrire un conte de fée pour adultes, pour les jeunes lecteurs d’esprit large, sensibles aux différentes cultures et aussi pour les seniors qui gardent encore les bonnes vertus de leur jeunesse.