Romans

Deuxième volet des Confessions d’un enfant gâté. Le phantasme d’une nouvelle vie en Amérique, avait été un échec complet. J’avais bien vu les gratte-ciels et Sitting Bull, les cadillac et Niagara, malheureusement, les prévisions n’étaient pas au rendez-vous, et l’Eldorado, tant claironné de par le monde, m’avait filé entre les doigts. Je revenais en France, non pas, tout feu, tout flamme, comme Rastignac arrivait de sa province à Paris, ou plein d’espoir, comme les poules de monsieur Giraudoux, mais anesthésié, chlorophormisé, cocaïnisé, inconscient de la gravité et des conséquences d’un retour dans de telles conditions mais... ma bonne étoile veillait !!!

Né pendant la seconde guerre mondiale, l’auteur passe tour à tour sa jeunesse entre son père, sa mère et ses grands-parents. Études secondaires – appelé du contingent en Algérie – Faculté de droit – Représentant d’une Compagnie d’assurances en Bretagne à Paris, puis à nouveau en province – Brocanteur en Dordogne – Antiquaire au Québec et, pour finir, Libraire d’Ancien à Paris.

Chroniques de la maison des esclaves

Quelques spécimens d’une humanité raréfiée ou rendue invisible, errent au bord de leurs précipices, entre Vincennes dans l’Indiana, Paris, Dijon, Chennai en Inde... Certains viennent de Russie ou d’Allemagne, de la jungle de Sri Lanka ou de l’Amazonie...
Autant de personnages, sidérés, qui se croisent, s’éclipsent, réapparaissent et se rencontrent, au long de leur métamorphose.
En leur monde au temps qui bascule, on ne sait dans quelle direction, des statues bougent ou disparaissent. Mais voici un dernier train, une dernière voiture, un dernier avion. Que se passe-t-il dans la Matière ? Du royaume des morts on vient exprimer son mécontentement vis-à-vis des vivants. Que viennent dire ces défunts ? Un vent de liberté soufflerait-il sur La Maison des Esclaves ?
Est-ce enfin l’Apocalypse ?
Cette « Révélation » tant redoutée ...
Rien n’ira plus comme avant.
Sans doute.
Car demain reste à réinventer.

Pascal Estrem est né à Bernay en Normandie. Études littéraires et artistiques. Autodidacte citoyen du monde. Partage sa vie entre la France et l’Inde. Il compte à son actif plusieurs ouvrages, parmi lesquels de la poésie, du théâtre et des essais.

Au moment où les génies athéniens s’occupent de la réalisation du Parthénon, Platon annonce l’émergence d’une science mystérieuse qu’il nomme architecture, celle que de nos jours les ignorants confondent avec la décoration et les excentricités constructives.
En fait, le potentiel de l’architecture, au cours de son long voyage, s’était enrichi d’une série d’inventions scientifiques et conceptuelles que les maitres initiés à Delphes ont immortalisé sur ce monument modèle, le temps d’Athéna.
Il reste donc à découvrir la quintessence de cette fleur de la sagesse en débutant les recherches par des questionnements, comme :
- Pourquoi l’architecture a-t-elle vu le jour à Athènes juste au Ve s. av. J.-C., c’est-à-dire dix siècles après la création en Egypte, en Crète, etc., d’édifices (palais, murailles, etc.) qui témoignent des connaissances très poussées en matière de construction ?
- Quelles nouveautés apporte-elle donc si nécessaires et suffisantes pour établir son domaine scientifique en se différenciant de celui de la construction conventionnelle ?
Le présent ouvrage, en vue de faciliter l’exposé des résultats d’une étude qui suit la trame d’une pareille problématique, glisse les données au sein des dialogues des personnages qui participent aux aventures d’une fiction dans un futur proche.

Kleio Anastasiadou, Architecte DPLG, a suivi à Paris des études d’architecture à l’E.N.S.B.A. Up.1 et d’urbanisme à Paris VIII en préparant sa maîtrise, suivie par Anatole Kopp sur le sujet : « La nécessité des monuments dans la ville ». Elle a exercé son métier d’architecte en Grèce et comme stagiaire à Lausanne pour le traitement des monuments auprès du président d’ICOMOS. Elle a établi son bureau d’études et a suivi en parallèle les séminaires de l’école pratique, département philosophique de la Sorbonne. Depuis, elle s’est replongé dans ses recherches sur les monuments et écrit ses réflexions avec l’intention de les communiquer aux intéressés.

Dans des aventures qui se déroulent sous les tropiques, en Martinique, où la nature est à la fois une alliée et un adversaire redoutable, face à diverses catastrophes naturelles, ou suite à une pandémie, le héros et l’héroïne des récits développent leur capacité de résilience.
Fortifiés par l’amour, l’amitié, la solidarité ou la croyance religieuse, les personnages nous enseignent qu’il est toujours possible de surmonter ses peurs et de survivre quels que soient les aléas de l’existence.

Femme originaire de la Martinique, Valérie Phejar se définit comme une citoyenne du monde. Ancienne juriste d’affaires, ancienne gérante d’entreprise, et ancienne aidante familiale, paysagiste amatrice amoureuse de la nature avec une réelle passion pour le jardinage, l’élevage d’ovins et les voyages, elle a décidé de se lancer dans l’écriture pour partager des valeurs de justice, de courage et sa foi en l’espérance d’une vie meilleure.

Il fut un temps où Dem, l’étoile mère, n’était pas encore une géante rouge. Il fut même un temps où elle n’était rien. C’était bien avant l’antique âge capitaliste. Bien avant l’humanité. Bien avant Edelærde, la Lune-Berceau, qu’aujourd’hui on appelle Lune 22. De ce temps dont on ne sait rien, quelque chose est resté.
Le Rêve, une mystérieuse IA rebelle devenue capable d’endoctriner des civilisations entières, s’est emparée des colonies les plus lointaines et les plus froides de Demeteris. Il y a quelques années, l’expansion du Rêve semble s’être arrêtée aux frontières des Lunes intérieures. Trois Compagnies se partagent encore le système libre dans un état de paix armée.
Besp s’est débrouillé pour vivre sous les radars toute sa vie. Mais le mercenaire fait une découverte qui va lui rendre hostile et étrange ce monde qu’il connaît pourtant comme sa poche.
Un monde où l’indicible réclame sa place, où la frontière entre informatique et biologie est plus vague que jamais et où des femmes ont l’idée saugrenue de vagabonder dans un vaisseau pirate sans aucun homme pour les diriger…

Artémis Carabelli est une militante passionnée d’histoire, de jeux de rôle et de littératures de l’imaginaire. Écrivant depuis le plus jeune âge, Perséphone est son premier roman officiellement publié. Ses textes mêlent souvent poésie, féminisme et thématiques LGBTI.

Un homme se réveille un matin avec l’étrange impression qu’il continue à rêver sa vie. Il découvre qu’il possède un recueil de poèmes, ouvrage qui s’écrit à mesure que lui-même progresse dans le rêve...
Pourquoi rêve-t-il ?
Comment se réveiller ?
Qu’est-ce qui le coupe du réel ?
Vrai faux roman moderne mais véritable récit initiatique, ce texte nous emmène au cœur de l’expérience intime qui nous attend tous.
L’auteur nous plonge ici dans un voyage intérieur où l’urgence d’être et de trouver un sens se fait de plus en plus pressante.
Les poèmes s’y égrènent au long d’un parcours qui, loin d’être un fleuve tranquille, se révèle un chemin exigeant susceptible de faire tomber tous les masques.
Mais sommes-nous prêts à l’emprunter ?

Il s’agit du deuxième ouvrage de l’auteur dont le premier est un recueil de poèmes intitulé : «Pour L’Instant». Ses écrits témoignent d’un cheminement intérieur s’appuyant sur l’Adyhatma Yoga, voie spirituelle proposée par Arnaud Desjardins.

Suivi de trois autres nouvelles

L’auteur a toujours été fasciné par Cartes sur table de Agatha Christie. Meurtre rétrograde reprend les mêmes ingrédients de la célèbre romancière. Mais ici, il ne s’agit plus d’une partie de bridge mais d’une partie d’échecs.
Pour l’inspecteur Mazetti tout paraissait pourtant clair et limpide. Mais Luc Marelle, appelé par son ami Jean-Pierre Olibrier, ne pouvait s’empêcher de penser que quelque chose clochait. La déduction est, pour ce dernier, l’arme de prédilection, arme agrémentée ici de probabilités, de mathématiques et de logique. Une fois de plus, son flair infaillible ne va pas faillir.

Triple champion de France et deux fois vice-champion du monde par équipe (vétéran), l’auteur, Jean-Claude Letzelter, est également professeur de danse, (Standard, latine, rock, tango argentin), problémistes, verbicruciste, origamiste, magicien, marathonien, tennisman et auteur des ouvrages Les échecs artistiques et humoristiques (Grasset 1990), Les pions qui venaient du froid et du polar La victime n’était pas au rendez-vous.

Annabelle et Edmond vivent un amour unique, passionné, une vie langoureuse qui va se fracasser contre le refus d’un père et des idées préconçues. La douceur d’un bonbon sucré que l’on suçote et qui laisse un goût de sang dans la bouche.
Antoine et Edmond, sont deux amis liés par le travail et le respect qu’ils se vouent. Mais leur amitié, perturbée par la crise qui les oppose, saura-t-elle résister au choc de la réalité ?
Entre le handicap de l’un, l’univers carcéral de l’autre, l’espoir de la vie de tous les autres, les personnages cheminent dans une vérité qui n’en est peut-être pas vraiment une.
Une lutte pour la reconstruction, dont la résurgence d’un passé, bouleversera les familles et portera les protagonistes vers une révélation implacable.
Des gens qui se croisent, se rencontrent, s’apprécient ou se détestent. Des évènements volontaires ou involontaires, qui font ou défont la vie et qui mènent au présent, quoi que l’on fasse, au travers de l’épreuve du temps.

Né en 1954, l’auteur, Michel Freis, aime lire et écrire. Il est également musicien à ses heures. Juriste au sein de la Fonction publique de l’État, du temps de sa vie dite active, il a délaissé la rédaction de mémoires pour céder aux errances de son imagination. Ainsi est né, l’épreuve du temps, roman qui se situe en Occitanie et dans les Hauts de France.

La Bretonne, Vanessa Lerec est nouvelle Commandante au SRPJ de Marseille… Une série de meurtres inhabituels la confrontent directement à la Mafia Corse à Marseille.
« Elle ne savait pas… Maintenant, elle sait. »
Elle « sait » que ce qu’elle a connu avant ne sert plus à rien…
Avec l’inspecteur Lafond, flic pas solid,e ni très fiable, Lerec va mener ces enquêtes, avec courage, avec intelligence et quelques impolitesses… « La cloison qui sépare la nécessité de la loi est parfois fine. »

Philippe Massé est né le 29 juin 1960 en Gironde. Il est restaurateur à Arcachon ( Restaurant LE CABESTAN ). Convivial et Gascon… Il aime la vie parce qu’elle est belle, confie-t-il.

Roman, essai, autobiographie, les frontières se brouillent lorsqu’un Français s’interroge sur les raisons qui l’ont amené à quitter le pays qu’il aimait tant et à prendre la nationalité anglaise.
Les souvenirs surgissent. Les fantômes d’un monde disparu se dressent : un ancien légionnaire amoureux de littérature, un administrateur royaliste, un avocat communiste. Les lieux se succèdent du Pays Catalan à la Bretagne en passant par la Lorraine. Les identités se mêlent entre le gosse de banlieue, l’ingénieur, le père. Dans le tumulte incertain de la vie, caché au milieu des joies et des tristesses, un cheminement inconscient prenait forme.
L’essentiel est de raconter le déchirement d’un homme, amoureux de sa patrie, de ses paysages, de sa cuisine et de son histoire, mais qui ne la reconnaît plus et souffre du rejet de son entourage. Où est partie l’impertinence française ? Que sont devenues les disputes où l’on se réconciliait autour d’un pot ? Qui porte encore la fierté d’une nation bouillante, attachante, libre ? Quelle est cette violence qui gangrène la société et jusqu’aux rapports amicaux ?
Ce livre est une ode nostalgique à une France dont beaucoup de nous regrettent la saveur, les rêves et l’enracinement. Il poussera le lecteur à mieux comprendre pourquoi tant de nos jeunes prennent le chemin de l’exil, désespérant de pouvoir trouver leur voie dans une France où ils sont pourtant nés.

Marié, père, Henri Monsablon a vécu de nombreuses années hors de France. Il a exercé diverses activités professionnelles avant de se pencher sur l’écriture. Son parcours éclectique, son ouverture internationale et sa passion pour l’histoire l’ont conduit à s’intéresser aux travers de notre société contemporaine.

Devant le cercueil de son frère, sa mère lui dit : « Toujours aussi nul, mon pauvre Christian, tu es un raté, c’est toi qui devrais être à la place de Benoît. » Vivant, Benoît a capté tout l’amour de ses parents, mort, il élimine Christian de sa propre famille. Pourquoi Christian est-il si mal aimé, si rejeté de sa famille ?
« Entre deux » est un roman initiatique, où l’auteur nous donne à voir, à travers le personnage de Christian, une jeunesse cabossée dans un milieu très traditionnel avec une construction de soi qui se fait entre excès et mauvaise conscience. A travers le suspens d’un secret qui pèse sur ce roman, la quête d’identité de Christian, et l’acceptation de sa différence, seront accompagnées par la psychanalyse, la peinture, le cinéma, et l‘ouverture aux autres. Ainsi, passant du chaos à la lumière, ce roman propose au lecteur un beau message d’espoir et de tolérance, un vrai chemin de vie.

Jean Mayer, loin du personnage qu’il a créé, était chirurgien orthopédiste avec en particulier plusieurs missions de chirurgie de guerre en Afrique ou dans les Balkans. Aujourd’hui il travaille comme expert médical et comme responsable associatif. Il a dirigé une troupe de Théâtre, il aime la grande randonnée et l’alpinisme. Il a toujours écrit, ayant publié quelques romans il y a une vingtaine d’années.

Paris, 1989.
Ingénieur féru d’histoire, Bernard se passionne pour la Seconde Guerre Mondiale. Sa quête le conduit à s’intéresser à Clément, jeune journaliste au Populaire de Paris en 1937 qui a combattu pendant la Guerre d’Espagne, puis est entré dans la Résistance après la défaite de 1940.
Cinquante ans les séparent mais Bernard s’identifie bientôt au jeune homme anticonformiste qui a traversé les grands événements du XXème siècle et dont aucune trace ne subsiste. Bernard aurait-il suivi le même chemin que Clément ? Ce dernier est-il encore vivant ?
Reposant sur une trame historique authentique, Nous aurons d’autres minuits est également une chronique familiale et intime, un manifeste politique et une parole nécessaire, à l’heure où nous quittent les derniers témoins directs de ces événements.

Bernard Castellon est ingénieur en électronique et cadre dans l’industrie.
Parallèlement à sa carrière professionnelle, il a été comédien et auteur de théâtre. Passionné d’Histoire et de langue française, il est l’auteur de «Nous aurons d’autres minuits», roman historique, poétique et engagé, fruit d’années de recherches et hymne à la Résistance.