Romans

Harmstrong : un nom qui fait trembler tous les magnats de la publicité. Une tour de verre, un dirigeant qualifié de Bête.
David Swanson, jeune homme dans la fleur de l’âge, vient de perdre son père. Forcé à devoir se débrouiller lui-même, il obtient un poste auprès de James Harmstrong qu’il découvre froid, distant et colérique. Qu’est-ce qui a bien pu se passer pour que James, dont la vie semble éprouvée par un secret, en arrive à vouloir briser celle des autres ?
Entre crainte, expectative et prudence quel avenir s’offre à David ? Parviendra-t-il à sortir indemne des soubresauts de cette relation complexe avec l’homme d’affaire ?

M.W.V Gulpen est un auteur Belge qui signe, avec “Le beau et la bête”, son deuxième roman. Après “Laissez-moi aimer”, il décide de donner un peu plus de maturité à ses écrits. Une histoire d’amour entourée de mystères et de secrets familiaux est le centre de ce récit. Il vit épanoui dans la région de Liège aux côtés de son époux et de ses parents.

«LES MORTS SE VOLATILISENT A BLACKRIVER» titre le Missoula Tribune, petit périodique du Montana.
La journaliste Tessa Jenkins est envoyée sur place pour enquêter sur la disparition du corps d’un jeune indien. Là-bas, Marek Kowalski, un agent du Bureau des Affaires Indiennes aux méthodes rustres, a déjà pris l’affaire en main. Qui s’est amusé à voler un mort dans sa réserve ?
A Blackriver, personne ne prend cette histoire au sérieux. Le corps disparu d’un orphelin, sincèrement, qui ça intéresse ?
La police locale aurait-elle délibérément bâclé le travail ?
L’agent du B.I.A. et la journaliste sont bientôt convaincus que la petite communauté de Blackriver cache un terrible secret.

Né en Ardèche en 1983, Frédéric Capmartin est passionné d’écriture depuis ses jeunes années. Baigné de culture populaire, il puise ses influences auprès des maîtres contemporains : Stephen King, R.J. Ellory, ou plus proche de nous : Maxime Chattam et Bernard Werber. Fan de cinéma, ses écrits sont très visuels et rythmés. Il s’intéresse particulièrement aux rapports humains dans un monde qui ne tourne plus tout à fait rond. Red Cloud est son second roman.

Le rat de cave et un monstre sur la lande, une maison de guingois, les délicieuses Bénédictins et deux chevaliers du Trou Normand. Un peu de pluie. La Fontaine de Sade et l’Angelot. Un bout de dentelle et la célèbre réplique de Gabin le Normand. L’abbé Dumont et le D-Day. La bouse de vache et la fiente de la mouette. La robe du pontife, les dominos de l’antiquaire. Des sanglots de blues et de flamenco. Une poignée d’expressions et mots normands. Et toujours cette fameuse boîte mystérieuse.
L’auteure nous emmène sur les lieux de son enfance, quelque part en Normandie et plus précisément en Pays d’Auge. Entre anecdotes véridiques et histoires un peu romancées, elle nous parle, souvent avec humour, de sa terre natale, celle où elle a grandi et vit encore aujourd’hui. Une terre de paysans, durs à la tâche, de l’aube au coucher du soleil, tous les jours de la semaine et de l’année car la traite des vaches n’est ni programmable ni reportable. Ça n’attend pas. Une terre préservée qui a su conserver un certain cadre de vie. Empreinte de traditions, de plaisirs authentiques et de savoir-vivre.
Charlotte nous prend par la main pour nous faire visiter son pays. Suivons-la ! Il parait qu’à la fin il y a dégustation de teurgoule accompagnée d’un coup de cidre !

Après des études traditionnelles, Arlette Roberge quitte la ferme parentale l’année de ses vingt ans pour embrasser une carrière au sein du Ministère de l’Économie et des Finances. Elle vit sa retraite dans les lieux de son enfance, partageant son temps entre des activités caritatives, le jardinage, la lecture et l’écriture « La Normandie de Charlotte » est son premier ouvrage. La préface est de Philippe Déterville, écrivain, historien, photographe et ancien président des jurys littéraires de l’association «Arts et Lettres en Pays d’Auge».

« Cette énorme tâche d’un rouge vif qui semble avaler sa joue… »

« Pouvons-nous lutter contre les traumatismes de notre enfance ? ».
« Notre sensibilité d’enfant agit-elle encore sur l’adulte que nous sommes ? ».
Le petit Maurice, né en 1927, démontre qu’il n’est pas si facile de répondre à ces questions.
Il est bercé par la rivalité entre son père, Auguste, et sa mère, Henriette.
Sur une échelle de temps relativement longue 1927-2002, les évènements révèlent le vrai caractère de Maurice.
A travers le récit, vous découvrirez la complexité du personnage sur fond de guerres et de conflits sociaux, à des périodes où les extrêmes s’affrontaient.
La question qu’il faudra, en définitive, se poser est la suivante : Maurice avait-il la possibilité de modifier le cours de sa vie ?

Jean-Jacques Auché est né le 21 mai 1962. Il habite près de Rennes. Chef d’entreprise, il a décidé de se lancer très modestement dans l’écriture en abordant des thèmes qui lui tiennent à coeur et pour lesquels il s’exprime avec sa sensibilité. Il attache beaucoup d’importance aux relations humaines et espère, grâce à ce livre, tisser des liens avec les lecteurs.

« Il n’avait pas eu besoin d’en dire plus. Elle avait tout compris. Elle le connaissait trop bien. Elle était restée silencieuse, mesurant le côté tragique et irrémédiable de la situation. Elle était dévastée… »
Estelle, l’héroïne principale, quitte sa ville natale, Marseille, pour s’installer à Genève. Elle découvre un nouveau monde auquel elle a, dans un premier temps, du mal à s’adapter. Petit à petit, elle s’imprègne de ce nouvel environnement.
Elle fera beaucoup de rencontres, mais une en particulier fera basculer sa vie. Les évènements dramatiques vont se succéder pour monter en puissance jusqu’à atteindre l’horreur absolue.
Tous les sentiments amoureux, des plus doux aux plus violents, sont représentés dans ce roman. Estelle va devoir affronter le harcèlement et la violence. Elle va parcourir un long chemin fait de joies et de découvertes, mais aussi de déceptions, de peurs et de souffrances. Arrive-t-elle à se relever ? En ressortira-t-elle grandie ?
Ce livre suscite des interrogations. Jusqu’où l’être humain peut-il aller, lorsqu’il se retrouve prisonnier de ses pulsions ? Où se trouvent les points de non-retour qui font basculer vers la folie ?

Christine Pellequer est native de Marseille. Néanmoins elle possède la double nationalité française et suisse. Après avoir vécu et travaillé plusieurs années à Genève, elle revient en France. Passionnée par l’écriture, elle vous présente son premier roman. Elle s’inspire des faits marquants de sa vie pour nourrir son imaginaire et créer des personnages certes fictifs mais tellement proches de la réalité. Elle cherche à deviner et montrer les différentes facettes du sentiment amoureux, les meilleures comme les pires. L’amour, lui, semble être le fil conducteur de la vie. Son roman se présente comme un récit dramatique.

« Nouvelles versions » est un recueil de sept nouvelles, comportant chacune deux récits inspirés d’évènements réels et associés par la similitude des faits qu’ils décrivent. Dans des lieux totalement différents, de l’antiquité à nos jours, leurs personnages vont se trouver plongés dans des situations provoquées par des drames allant de la catastrophe naturelle à la guerre. Les acteurs réagiront chacun à leur manière à des évènements reliés par une étonnante analogie malgré le temps et l’espace, pour finir par connaître des destins parfois bien différents mais quelques fois similaires. Ce que l’auteur ne sait pas au moment où il rédige ses textes, c’est que, devenu lui-même un protagoniste, ceux-ci vont l’entraîner dans un monde onirique d’où il n’arrivera pas à s’extraire.

Né en 1944 en Algérie, l’auteur, Albigeois d’adoption et fervent d’Histoire, se découvre une passion pour l’écriture et nous entraîne, après trois premiers romans dont l’action se déroule sur sa terre d’origine, dans un recueil de nouvelles sur le thème de l’analogie des évènements.

Grégoire, addict au porn, est persuadé que le nombre de meufs qu’on a quand on est un mec, c’est méga-important. Débute alors la quête effrénée d’un 06, une recherche qui va l’amener à découvrir qu’il est incapable de parler à une femme sans paniquer. « Football Manager, c’est pas pareil t’as vu ! » c’est son côté pro qui s’exprime quand il s’acharne à vouloir faire gagner la Champion’s league aux Chamois Niortais.
« Porn redemption » est un livre né de la génération stand-up, abordant avec un humour décalé et un style original le thème de l’addiction. C’est avec second degré, quasi-constant, que l’auteur, Adrien Potocnjak-Vaillant, amène son personnage à remettre en cause les représentations de genre et son rapport aux femmes.

Diplômé du Centre Universitaire d’Enseignement du journalisme, de Sciences-Po Grenoble et du Conservatoire de Chambéry, Adrien Potocnjak-Vaillant est aujourd’hui écrivain, scénariste et musicien. Porn redemption est son premier roman publié.

André, reporter, rentre du Yemen où il a couvert la révolte des chiites Houthis, réprimée dans le sang par les forces gouvernementales. Aden en était devenu l’épicentre, sa position stratégique sur le Bab el Mandeb permettant, entre autres, le contrôle de la navigation maritime.
De retour à Paris, il est persuadé d’avoir vécu le pire au cours de ses voyages à l’étranger pour des couvertures médiatiques. Mais, il est loin de se douter que des évènements aussi dramatiques peuvent également se produire en dehors de ces théâtres d’opérations.
La découverte d’un livre noir trouvé sur un banc du jardin du Luxembourg allait modifier sa vision du monde.

Avec La morsure de la libellule, Bernard Augier signe sa première publication.

Un cri abominable transperce la nuit de ce 26 avril 2018.
De disparitions en meurtres, Volker Nussbaum, Inspecteur de la Brigade Criminelle de Genève va devoir annuler ses vacances et annoncer à sa femme qu’il ne pourra pas s’envoler pour les Caraïbes !
Aucune piste ne peut être écartée malgré la culpabilité évidente d’un suspect. Accompagné de son collègue Marc Michel, ils feront face aux pires comportements humains pour résoudre cette sombre histoire, peuplée de personnages névrosés aux prises avec leurs démons intérieurs. Tous deux savent qu’au-delà des apparences se cachent des zones d’ombre et qu’ils vont devoir les explorer, quitte à s’y perdre.
Une histoire entre Genève et le Luberon, une visite touristique morbide avec des touches d’humour où l’humain et ses travers reste le point central.

Vaudoise d’origine, Aline Cardinaux a habité dans différents cantons suisses puis sur la partie alémanique. Après avoir beaucoup voyagé, elle vient de s’installer en Auvergne où elle vit et travaille. Infirmière en psychiatrie de formation, elle a usé de son expérience pour exposer dans ce récit la dualité de la nature humaine. Avec Requiem pour une mouette elle signe sa seconde publication.

Originaire du village d’Anhéo au Togo, Kodjo Amouzougan a abandonné la comptabilité-gestion au profit de la médecine après avoir sombré pendant plusieurs années dans les abysses insondables de la cécité. « Touché par la grâce de Dieu », il porte depuis, un autre regard sur le Monde. Chaque petit geste de la vie, chaque petite action le rend heureux. Exerçant un temps en milieu hospitalier en France continentale dans un centre de rééducation des Hauts-de-France, il a posé ses valises à l’île de La Réunion où il est installé comme infirmier libéral. Ses tournées quotidiennes ne se limitent pas à de simples visites et aux soins : Amouzougan réinvente la médecine de proximité et apporte à chacun de ses patients une réelle écoute, une vraie présence, du réconfort et des encouragements. Avec eux, il partage son bonheur de vivre. Amoureux de l’île, fier d’avoir « deux zones de confort », il porte aussi le Togo dans son cœur. À Lomé où il se rend régulièrement, « L’infirmier de Dieu » poursuit son œuvre de bienfaisance auprès des orphelins du centre « Dieu est Grand » dans le village d’Amoussoukopé. Lui-même est orphelin depuis l’âge de 15 ans...

Georges Lazarre est né et vit à l’île de La Réunion. Plus qu’une passion, l’écriture est chez lui une thérapie, un remède contre les maux en ces temps tourmentés. Ancien journaliste, membre sociétaire de la Société des Poètes Français il est aussi délégué départemental de l’Académie de la poésie française. Auteur de plusieurs ouvrages, il écrit des romans, mais aussi des recueils de poèmes...

Lundi 16 mars – 20 heures –
Solennel, le président de la République expose la situation sanitaire. Le coronavirus débarque sur le sol de France avec toute sa puissance destructrice potentielle. Nous le connaissions de nom et de réputation. Nous l’avions vu à l’œuvre en Chine et chez nos voisins transalpins. Mais c’était chez les autres…
Aujourd’hui, l’insatiable bestiole s’attaque, sans vergogne, à notre si envié système de santé. Qui tangue sérieusement sous l’assaut. Les services d’urgence de nos hôpitaux sont engorgés et frôlent la saturation dans certaines régions. Le problème est posé, la solution donnée : le confinement. Dans les heures et les jours qui suivent, les établissements scolaires seront fermés, le télétravail de rigueur, les déplacements limités, le périmètre de circulation restreint à un petit kilomètre…
Tous les ingrédients d’un roman de science-fiction qui ferait un tabac… Sauf que c’est de la vraie vie dont on parle. Sa vie à elle, Zoé, balayée dans sa quotidienneté sans préavis et pour combien de temps ? Nul ne le sait … ou ne le dit … allez savoir … Alors débute une vie au jour le jour où il faut apprivoiser l’ennui et réinventer le quotidien. Le tout dans une cacophonie médiatique inégalée où tout est affirmé et son contraire. Où la peur est savamment distillée et entretenue par le monde médical qui prend le pas sur le politique. Car tous les repères sont tombés, les habitudes chamboulées, les certitudes remises en cause. L’expérience est inédite, surprenante à tous les égards.
C’est ce cheminement que Zoé nous livre avec des vrais bonheurs et des montagnes de doutes.
Un parcours où beaucoup se retrouveront … sans nul doute !

Agnès Fontaine est née le 30 août 1962 à Lyon. Elle est enseignante, mère de quatre enfants, grand-mère également. Plutôt scientifique de formation, elle prend plaisir à jouer avec les mots. Elle est l’auteure de deux ouvrages : 20 femmes face au cancer du sein aux Editions Médicatrix. Un amour de sœur aux Editions Spinelle.

Été 1893, Jean, fils mal aimé de parents vivant sur la ferme d’un village perdu de Picardie, prend la décision de fuir une existence malheureuse pour rejoindre Paris où il compte y retrouver un oncle proscrit de la famille. Il fonde tous ses espoirs sur cet oncle mystérieux pour l’aider à se construire une nouvelle vie, bien loin des tourments de sa jeunesse et d’un avenir sans lendemain.
Au risque de perdre l’amour qu’il aura trouvé, il poursuivra sa quête qui se révélera particulièrement périlleuse. Il verra sa liberté et sa propre vie mises en danger par la découverte de secrets à l’origine de son histoire familiale. Il lui faudra chercher des réponses dans la douloureuse mémoire des ultimes combats de la Commune de Paris et apprendra la vérité en fouillant dans les cendres du passé, dans les cendres de la Commune…

Gérard Dehalle est consultant formateur indépendant. Il intervient notamment dans des CFA où il dispense des cours de français et de culture générale.
Avec Les cendres de la commune il signe son premier roman