Romans

La guerre fait rage en Algérie en cette fin des années 50. Etienne effectue son service militaire dans ce pays où il est né. Il découvre l’horreur qui le détourne de son amour Jeanne, rencontrée dans la petite ville pyrénéenne de Bagnères de Bigorre.
Un acte insensé sur son amie Leïla le traumatise.
Rapatrié en France après la guerre et témoin du massacre d’Oran, il sort de son amnésie sentimentale. Pourtant le cours de sa vie à Bagnères ne cesse d’être tumultueux.
Est-ce qu’Etienne ne serait-il pas victime de son lourd passé ? La vérité fera-t-elle enfin surface ?
Par ce récit bouleversant, Christophe Guarinos a ce don d’amener ses lecteurs dans une intrigue serrée avec des personnages tout aussi pittoresques que complexes.

Christophe Guarinos est né le 02 octobre 1968 à Bagnères de Bigorre (Hautes-Pyrénées). Il est artisan coiffeur et romancier autodidacte. Après quelques expériences comme rédacteur en chef d’un magazine associatif “Spackx magazine” et correspondant sportif auprès de la Dépêche du Midi, il a écrit en 2020 son premier roman “Le pendu de la Saint-Vincent”. En 2021, il publie son deuxième manuscrit “L’homme qui voulait partir”.
Son troisième roman “Le croissant rouge” s’inscrit dans une triple exigence : proposer un récit fictif avec un point d’ancrage local bâti sur des réalités historiques.

Ce roman d’amour, à la nature, à une femme, mais aussi à l’humanité, a pour scène exclusive les montagnes des Pyrénées.
C’est aussi une critique, sans concessions, de notre monde moderne qui privilégie la réussite individuelle, égoïste, au détriment du succès collectif. Un univers contemporain qui abîme tout ce qu’il touche, tout ce qu’il effleure.
Il se déroule sur les deux versants des Pyrénées, que l’auteur, marcheur infatigable, a eu le privilège de parcourir, de long en large, de bas en haut, pendant de nombreuses années. En toutes saisons, de maintes façons, mais toujours avec la plus grande discrétion.
Aventures d’une jeunesse, axée sur le milieu montagnard, tournée vers les pratiques contemplatives, mais non dénuées de difficultés, de l’escalade, du ski de randonnée, de l’alpinisme. Des rencontres passionnantes au fil des pages, dans des situations improbables, qui sculptent une vie, peut-être un jour la vôtre...

Jean-Thomas Ara, natif des Pyrénées, après une vie à deux faces, dans l’industrie puis en montagne, s’engage dans l’écriture en 2020 pour se raconter dans « 2666 -L’ultime refuge ». Il publie en 2021 « Le Masque et l’Enclume », un essai politique contre le libéralisme. Homme de gauche depuis sa tendre enfance, il se passionne pour la montagne, source de toutes ses inspirations.

« Je viens vous voir à propos de l’expérience… C’est une catastrophe… Enfin non, je veux dire que c’est un succès, mais… Pour commencer, il y a bien des gens qui ont été envoyés dans le programme comme prévu, mais pas ceux qu’on avait choisis au départ… Et le programme ne correspond en rien à ce qu’on avait imaginé. Malgré notre programmation et le codage qu’on a utilisé, il a complètement changé ! Et le pire, c’est que la moitié des volontaires a déjà disparu ! »
En reprenant conscience, Axel, un étudiant sans histoires, découvre avec horreur qu’il a été transporté dans un univers étrange, avec ses propres règles. Le jeune homme devra trouver un moyen de s’échapper le plus vite possible, au risque de mourir, notamment lors d’un de ces affrontements aléatoires qui régissent la vie des habitants prisonniers de cet endroit.

Passionnée par la lecture dès son plus jeune âge, Charlotte Rouviller commence à écrire à huit ans. Elle participe ensuite à plusieurs concours de nouvelles et remporte quelques prix. À la fin de ses études universitaires, elle se lance dans la rédaction de son premier roman : Code Pandora.

Au cours du vingtième siècle, ont-ils véritablement existé ces personnages perdus dans toute la complexité de la vie, en plein cœur de la forêt des Landes de Gascogne ? Leurs comportements les ont conduits bien loin des sentiers battus, mais pouvait-il en être autrement ? Avaient-ils la faculté d’échapper à un tel destin ?
Au lendemain de la seconde guerre mondiale, Philippe, jeune homme ayant participé à la résistance quitte urgemment Bordeaux pour Paris, afin de tenter d’y oublier un traumatisme violent qu’il a subi lors de son retour dans sa famille.
Cette fuite sera vaine. Le choc le poursuivra dans sa nouvelle vie, les souvenirs le hanteront, l’absence d’apaisement lui ôtera toute chance d’insertion dans la capitale. Ainsi deux ans plus tard, fera-t-il le choix de revenir dans sa région natale, de quitter la grande ville pour vivre en forêt, d’y mener une vie simple d’apiculteur, de ne pas épouser la femme dont il est éperdument amoureux.
A l’aube de la soixantaine, le décès de celle-ci le conduira à se questionner sur la pertinence de ces choix, à s’épancher sur ses états d’âme, à déplorer que le choc traumatique de sa jeunesse soit toujours aussi présent et puissant dans ses tourments.

Natif de Bordeaux, Patrick Lestage a des racines landaises profondes et a entretenu de tout temps des liens affectifs forts avec les Landes de Gascogne.

Vous est-il déjà arrivé un jour de penser que deux simples points pourraient changer, ou du moins, impacter votre vie ? Il serait raisonnable ici d’évoquer la marque de ponctuation sous une ou plusieurs formes mais il conviendrait également d’imaginer leur portée sous les traits des mœurs et du quotidien. De la pure niaiserie, me direz-vous, et cela sans sourciller. Pourtant, au détour de certains évènements, de quelques situations et de plusieurs lendemains, il arrive étonnamment que deux points puissent faire une différence. Mais entre quoi et quoi ? Ou même entre qui et quoi ? Le mystère demeure encore, quoiqu’il serait peut-être en passe d’être éclairci. La lecture de ce livre vous emmènera, au travers d’anecdotes de la vie, sur les terrains de compréhension de ces subtiles questions, et cette fois-ci, il n’y aura nulle nécessité que vous vous accommodiez aux conclusions possibles car vous aurez très probablement trouvé votre conclusion, précisément celle que votre analyse et votre intuition vous dicteront. Un programme qui s’avère bien réjouissant, quoiqu’intrigant. N’y voyez là aucune malfaçon mais simplement le récit ironisant, amusant, et le temps de quelques lignes, poignant autour de deux petits points. La balle est donc dans votre camp. Il est donc inutile de compter les points…

Après l’ouvrage 3974 paru en 2022, Olivier Auré signe ici son cinquième roman, un récit à la fois amusant, affectueux et sur fond de morale de certaines histoires du quotidien, fictives pour quelques unes et réelles pour d’autres, mais portant toutes en rédemption d’opiniâtres mystères.

Le Nakhizal, petit émirat pétrolier du Golfe en mal de touristes et en quête d’une bonne image à l’étranger, organise une Coupe du monde de football particulièrement disputée. Parmi les pays prétendant sérieusement au titre de champion se trouvent notamment la Yanciterre, contrée africaine soucieuse de stabiliser un régime fragile et de prendre sa revanche sur des puissances européennes symbolisant pour elle le passé colonial, mais également l’Oussalikristan, État totalitaire issu du bloc soviétique, en Asie centrale, dont les joueurs, anciens militaires d’élite, ont été formés dans le seul but de remporter la compétition. La présence de cette équipe d’un genre nouveau va cependant poser un dilemme particulièrement douloureux pour les autres équipes, dont la perspective de victoire n’aura jamais semblé aussi coûteuse.

Tudual Le Droumaguet est né le 13 avril 2000 à Cherbourg-Octeville (aujourd’hui Cherbourg-en-Cotentin). Après avoir grandi dans les Côtes-d’Armor et avoir obtenu un baccalauréat littéraire au lycée Saint-Joseph de Lamballe en 2017, il a entrepris des études d’histoire à l’Université Rennes 2, où il a obtenu sa licence en 2020, puis un master de recherche deux ans plus tard. Après avoir publié La Façade en mai 2021 et Auguste II, ou l’Inaliénable identité en avril 2022, il signe avec Coupe réglée, son troisième ouvrage.